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10 VERGENNES HIGH SCHOOL IGp leparti'nmtt iFrunraia —--------------------—■---------—----- Une Rue dans Paris Je vois dans ce tableau un batiment dans la rue de la Seine. Ce batiment est fait en bois et en platre brun. II est divise en deux parties, dans l’une il y a une epicerie et dans 1’autre un magasin de nouveautes. On y voit sept fenetres. chaque fenetre a un balcon avec une boite de fleurs. Dans lepicerie i! y a deux grandes fenetres et uii£ petite porte d’entree et au milieu du batiment il y a un grand portail. A droit je vois aussi deux grandes fenetres et une petite porte d’entree. Dans I’etalage du magasin de nouveautes il y a des vetements pour toute la famille. Par le portail on pent entrer dans une cour interieure. Cette cour est tres jolie, une fontaine se trouve au milieu entouree de belles fleurs. Dans la rue une blanchisseuse porte un panier plein de linge propre. Un Homme, qui a l’air faible, passe devant le magasin de nouveautes. Le ciel bleu est plein de images blancs. Cette rue de la Seine est tres jolie. Eleanor Gee, ’35. Petit-Pere Raoul Mercier etait un jeune artiste, tres talente, tres attrayant mais tres pauvre. Depuis trois jours il n’avait ni mange ni dormi, et sa misere sem-blait etre insupportable quand il re-marqua par accident une annonce dans un vieux journal. Cette annonce, di- sait que le comte de Villemaire desifait acheter une peinture et qu’on donnerait plus de renseignements a ceux qui se presenteraient au chateau Mevel. Raoul s’y rendit mais presque sans esperance. On lui dit que monsieur le comte allait donner une peinture a son fils et qu’il aimerait une scene qui suggere l’amour d’un fils pour son pere. Par consequent il donnerait une somme enorme a celui qui offrirait la meilleure composition. Raoul, un peu emu par cette demande extraordinaire, prit la resolution de faire un vrai chef-d’oeuvre. Au bout de trois semaines, apres avoir peint sans cesse, il completa son ouvrage. A sa grande joie il fut choisi ] ar le comte et Raoul fut recompense genereusement. C’etait un portrait ex-quis, peint en couleurs riches et douces avec des lignes delicates qui depeignait un jeune garqon qui regarde le portrait de son pere avec admiration. Le titre du tableau etait “Petit-Pere.” Mary Bourget, ’33. Les Feuilles d’Automne Quelle belle saison que l’automne! Le ciel est d’un bleu intense, les der-nieres fleurs d’automne commencent a faner et l’herbe a se secher. Regardez les feuilles. Oh! les belles feuilles de couleurs si gaies. Elies tombent, tour-nant et dansant dans l’air. Elies res-semblent a de belles' dames en toilette de soiree, a de belles dames qui dan-sent si legerement.
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BLLE AXD WHITE 9 I have mentioned before that he was a white clog with fluffy hair. This hair became less white very rapidly. In a few days I had to give him a bath. Being delicate and high-pedigreed he would have to receive the proper kind of a bath. I was to seek information on the care of dogs in order to give said bath properly. It was some time before I ascertained the breed and determined the proper method. The bath was a night-mare. I believe he hated to take it almost as much as I hated to give it. From the first he was a job to handle. I had him well cleaned except for his ears and two feet when he managed to slip under my arm and away. Then and there I got my own idea of a merry-go-round. We circled the kitchen table until I was so dizzy I could have sworn 1 was chasing at least five or six dogs. One time I got the milk pitcher on my head and another a dish of chocolate pudding. Finally I baffled him by staying under the table until I saw a chance to get him. I took the chance and got one leg and a bump the size of an egg. When I finished his bath he looked like a wet rag instead of a dry mop. it went on like this for days. I was becoming a nervous wreck. Finally I decided either he would leave or I would. He left. This was one of my life’s few horrible experiences. I only hope that if God has created things worse than a high-toned pup he will keep them out of my life. TREES It was a late October afternoon as ----- and I sat in a rustic chair formed by a crooked limb of a tree by the lake shore. The sun was about to set and the whole mountain on the opposite shore seemed aflame as the colors of the frost-tinted trees were thrown back across the still, blue-green waters of old Champlain. “Aren’t those beautiful colors just a picture unpaintable?” — exclaimed. “It seems I’ve never seen the foliage as beautiful as it is this fall, the golden-yellow of the birch, the red of the hard maples, and every now and then a DOWN AMONG THE Down among the beech trees, North of a rocky hill, A shaded path I follow When all the world is still. The home of little chipmunks Is at the journey’s end; The woodland gives me welcome; My footsteps onward trend. sprinkling of green; the faithful old evergreens surely make themselves stand out with their perpetual green coats.” That was the last time ------- and I enjoyed the trees’ splendor that fall, as school life took up so much time. Nevertheless, many a day as I sat dreamily in school on cold winter afternoons. I often gazed at the lacy outlines of the trees, now without any vestige of cover, except here and there an occasional thin blanket of snow on their lacy fingery branches. Robert Cotey, ’33. BEECH TREES Down under tussocks mossy A little hole I see— A vestibule so tiny. With neither lock nor key. Beneath an arch of lichens A little porch stands out. With Nature’s magic touches And tufts of ferns about. Now when I'm feeling lonely, My heart is sad until The shaded path I follow. When all the world is still. Barbara Bristol, ’34
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BLUE AND WHITE 11 Aujourd’hui ces feuilles sont belles, demain elles seront brunies, vieilles et mortes. Bientot elles seront ensevelies dans une couverture de neige. Elles out quitte leur arbre le laissant denue et gris, mais au printemps d’autres feuilles, des nouvelles, prendront leur place. Elles seront petites, jeunes et vertes. Elles seront comme des ban-ieres flottant dans l’air qui annoncent l’arrivee de la saison nouvelle. Eleanor Forrest, '33. Un Mystere L'n jour Jacques Larband, inspecteur de police, est assis a son bureau, quand le telephone sonne. Une voix lui dit: Monsieur, voulez-vous venir chez. moi tout de suite? II y a des choses bizarres qui se passent ici. Je suis Jean Renaud et je demeure . . . . Jacques court chez M. Renaud. Guild il sonne a la grande et noble maison une jolie bonne ouvre la porte. File 1'introduit dans un cabinet d’etude. M. Renaud, un homme de noble port, se leve et le salue. —Vodez-vous, Monsieur, dit-il, je ne suis pas un homme qui est facile a epouvanter. Mais j'ai entendu des voix unit aprcs nuit, je ne me trompe pas. Lcs voix disent toujours: “Ce soir. ce soir. nous le tuerons, nous le tuerons.” Ici, dans cette piece, je les ai entendues. Et puis, quelqu un frappe, frappe. fra]i] e. partout, et j’entends le petit bruit de pas dans le vestibule. —Oui, dit Jacques, euh . . . tres interessont, Monsieur. Yous n avez vu personne? —Non. —Je comprends. Maintenant il faut que j'examine cette piece. Voulez-vous m’aider? Merci! Tout d’abord . . . Mais quand ils avaient fini de fouiller et quand ils avaient parle a la bonne, ils n’en savaient pas davantage. Apres le diner Jacques sort. Quand il re-tourne il est tres agite. Il dit: —Avez-vous un fusil? Bien! Venez avec moi! Ils sortent et approchent silencieuse-ment a un petit kiosque d'ete pas loin de la maison. Une lumiere faible pa-rait a la fenetre et M. Renaud entend les paroles menaqants qu’il connait si bien. —Les criminels! dit-il. Quelle audace de se reunir ici, sur mes terres! Ils s’approchent du kiosque en cachette. 11s forcent la porte et— —Quoi! —Hein! Une table occupe le centre de la piece, et autour de cette table sont assis dix garqons, Paul, le neveu de M. Renaud, et neuf de ses amis. Ils etaient en train de chanter leur formule fatale: “Ce soir, ce soir, nous, les meurtriers, nous le tuerons, nous le—!” Puis Paul crie: —Mais, mon oncle, e'est notre club, e’est “Le Masque noir.” J'en suis le president. Je ne pensais pas que ;a vous fasse quelque chose si nous ten-ions ici nos seances.” Mais M. Renaud et Jacques n’etaient plus la! Faith Kenyon, '36. We regret our inability to insert proper accents- over the letters “a” and “i”. They are not at our disposal.
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