Vergennes Union High School - Blue and White Yearbook (Vergennes, VT)

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14 VERGENNES HIGH SCHOOL Behind came an old man who was “drunk.” (A description of a funeral). “Whither art thou going? (A slum mother is speaking to her street-urchin son). Madame Patterson, “C’est j majuscule? F. Larrow: “Non, c’est Minnie Squeal.” Mes Deux Oiseaux Voici deux oiseaux Qui sont tres beaux; Ils se sont envoles a moi, Et je pense qu’ils viennent de toi. Ils ont les plumes tres bleues; Les bees couleur de feu. Ils restent chez moi; jamais ils ne partent. Pourquoi? Ils sont sur une tres belle carte. Lois Bristol, ’32 L’ecolier Philosophe Dedie a ? ? Je n’aime pas etudier, Mais je ne veux travailler. Encore moins je ne veux rester Chez moi . . . Aussi a mes etudes il faut me coller. Arza L. Dean, 31 Soiree frangaise Un beau soir il y a quelques semaines, nous avons eu une petite soiree franqaise. Toutes les classes de franqais etaient invitees. Nous avons eu un programme presente par les eleves et announce par M. Senesac. M. Bame, Mile. Daigneault et Mile. Larrow ont chante d’une faqon charmante, M. Dean a recite une poesie et plusieurs eleves ont prit part a de petits dialogues amusants. Apres cela on a passe un bon petit rafraichissement prepare par les eleves de l’art culinaire. Et puis a neuf heures tout le monde est parti et nous etions bien contents de notre petit reunion. Jeanne Senesac, ’32

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BLUE AND WHITE 13 IGp Iryartmimt Jffranrata - Lena Fanslow, ’31, Gertrude Leonard, '31 Un Mauvais Toui L’ete passe je travaillais sur la ferme de mon pere. Un jour que j’etais occupe dans le foin il y avait avec moi seul-ment deux hommes dans le champs. II faisait chaud et les hommes voulaient de l’eau. C’etait a moi d’en chercher. Je detestais cette longue tournee a la maison. J’etais fache contre un de ces hommes qui s’appelait Charles. J’etais done furieux mais je suis parti. Quand je suis arrive a la maison. j’ai mis avec l’eau du sel et du vinaigre dans le seau, alors je suis retourne au champs. J’ai souri a Charles. Je lui ai passe le seau. II en boit et il fait une grimace terrible et avec un mot encore plus terrible se jette sur moi. Si l’autre homme ne l’avait pas prit par le bras, je serais peut-etre a ce moment a l’hopital. Qui sait? Quelques jours plus tard nous travaillions, ce meme homme et moi, dans le champs quand il m’a offert un beau morceau de choco-lat. J'en ai prit une grande bouchee. Ma foi, quel gout! Qu’est-ce qu’il y avait dedans? Du poivre de Guinee! Ma pauvre bouche! Elle etait certainement en feu. Il m’avait rendu la pareille, nous etions quitte a quitte. Arza L. Dean, ’31 Parmi Nos Traducteurs Experiments C’est la souris qui a pris le chat. It is the “smile” which has caught the cat. C’etait un ouvrier qui avait une veste aux larges poches. It was a workman who had a “vest” with large pockets. On apercevoit un enfant de choeur en calotte rouge. One noticed a “chorus boy” wearing a red cap. (The description of a funeral). Derriere venait un vieillard qui boitait.

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BLUE AND WHITE 15 Eittorala Joyce Young, ’30, Robert Larrow, ’32 EVENTS OF WORLD INTEREST During the time which has intervened since the last issue of the Blue and White, events have occurred which are worthy of our notice as observers of daily developments and as students of current events. Those interested particularly in National politics have eagerly watched the activities of the special session of the present Congress. After passing a farm relief bill not so radical in its terms as the much discussed McNary-Haugen measure, the House of Representatives promptly passed a tariff act, revising the present statutes upward to a greater extent than indicated by President Hoover in his message. When this revision came before the Senate, however, that “greatest of all deliberative bodies’’ started to talk it to death, and made so many changes that it was necessary to adjourn the session extraordinary without passing the new tariff law. More results are hoped for from the long session now in progress. The eyes of all who hope for permanent international peace were turned to the United States upon the visit of Premier MacDonald of England. Personal contact has done what formal diplomacies did not, and there seems to be an accord between Hoover and MacDonald. The eyes of lovers of peace, too, have been turned upon Manchuria, where the belligerent Soviet Republic and the newly established Chinese government have been engaged in a struggle over the control of a railway. The eyes, however, have been turned in fear, rather than hope. The United States called upon the signers of the Kellogg Pact to use their influence, and although Russia protested that the act was unfriendly, the settlement came about very promptly. In France the cabinet of Aristide Briand has been overthrown, and one headed by Andre Tardieu has taken its place. The retaining of Briand as Foreign Minister, however, signifies that the foreign policy of France will remain unchanged.