Vandergrift High School - Spectator Yearbook (Vandergrift, PA)

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26 THE SPECTATOR LA PREMIER PISSENLIT II y a tres longtemps quand des fees et des lutens encore habiterent le monde un petit railleur de cour tres gai demeura au pays de la France et parce qu’il avait un caractei'e joyeu tant le monde l’appela Coeur de Plume. II gagna des gages genereuses par amu-sant la jeu reine qui etait tres fatiguee avec son vieux mari, le roi. Bien que ses rentes fussent tres amples sa bourse etait toujours vide parceque tout des gages de Coeur de Plume etait donne aux paysans pauvres et souffrants. Heureusement, sa maitresse le nourit ou le garcon genereux serait mort de faim. Ordainairement, il etait le personne, le plus heureux du monde mais depuis ce jour quand il avait entendu la reine et son flatteur favori projetants le meutre du roi pour qu’ils pussent marieu Tun a l’autre, il avait ete tres sombre. Un jour il raconta a la reine un histoire qui la prevena contre faisant mal. Sa maitresse resentit la conclusion et mettant en colere elle chassa Coeur de Plume du palais. Embarrasse et blesse, il courant au jardin du palais et s’elanca sur le sol du vieux roi marchant sur les sentiers du jar- din. Ses oreilles alertes attraperent le bruit d’un autre pas tres furtif. Regardent de sa retraite Coeur de Plume vit le roi poursuivi par le flatteur favori de la reine avec son poignard a la main. Le traitre etait jusquau roi et il avait leve la main quand Coeur de Plume se precipta de saretaite et il se plaza entre le roi et le meutrier et en cette maniere recevant la force pleine du coup. Il renversa sur le sol et il mourait quand une petite fee apparut devant les yeux du roi etonne qui regardait le flatteur courant et elle dit:— “O, roi, regardez, aux pieds votre saveur d’une morte terrible, (Puis a Coeur de Plume), Apres ce moment, vous serrez une fleur et parceque vous avez un coeur do'or vous serrez le pissenlit et quand votre fleur aura disparu, vous aurez des petites plumes aulieu des fleurs, aussi legeres que coeur mon brave garcon.” Avec ces mots le fee disparut et une petite fleur d’or remplaca le corps du railleur de cour. Ainsi nous recevons notre premier pissenlit. —MARIE CULP, ’22. UN JOUR DE PAQUES EN FRANCE Violette Angier etait une petite paysanne de la France. Elle demeura avec son grand-pere et sa grandmere dans un petit village qui etait compose des petites fermes. Les francais n’aiment pas la solitude. Leurs petites cabanes, leurs etables et leurs jar-dins sout toujours ensemble. Le grandpere de Violette rehaussa les legumes, les pommes de terre, les poulets et les fruits pour le marche. Chaque matin il sortait a la bonne heure avec son cheval et son wagon pour Pequerre ou ils maintener-ent la marche.i Ce jour etait le vendred avante le Paques et ainsi que le Paques commence le samedi avant le Paques en France Toute le monde etait occupe en preparer pour le grand fete. Le grandpere vendid tout son prodint tres vite et il marcha un petite magasin du village. Et quand il retourna il porta beau-coup d’emballages.

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THE SPECTATOR 25 THE ORIGIN OF ST. PATRICK’S DAY ANY countries claim the honor of having been the natal soil of the good St. Patrick, but it is thought most probable that Kilpatrick, Scotland, was his birthplace. St. Patrick was born about 372, the son of a patrician family. When only sixteen years of age, he was kidnapped by pirates and sold as a slave in Ireland, where his master employed him as a swineherd. Here he lived among the people and learned not only their language but their habits, manners and customs. Finally, after many adventures, he escaped from his captivity and reached the Continent where he was made a deacon, priest, and bishop successively. St. Patrick then returned to Ireland carrying Christianity to the then pagan Irish. His work was hard and he met with much antagonism as the native priests did not, naturally, welcome any innovations. Popular legend attributes to St. Patrick many miracles, most of them highly impossible, which the simple Irish people believe even today. The greatest miracle is, perhaps, that he is accredited with having driven the “snakes” out of Ireland, and having rendered the soil so obnoxious to serpents that they cannot live on it. Colgan, a historian of the time, seriously relates that St. Patrick accomplished this feat by beating upon a great drum He beat it so long that it burst; thus endangering the success of the miracle. However, it was immediately mended by an angel from Heaven. For a long time this was exhibited as a holy relic. Ireland is dotted with geographical names connected with the saint. The places he visited or where he even sojourned for awhile; churches and abbeys, which he founded; and even the wells where he stopped to quench his thirst, may be counted by the hundred and are all in some way named for him. The shamrock is universally worn in the hat, all over Ireland on St. Patrick’s day. Popular notion is that when St. Patrick preached the doctrines of the Trinity to the pagan Irish, he used that plant, bearing three leaves on one stem, as a symbol of the great mystery. —MADALINE FITZSIMMONS, ’22.

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THE SPECTATOR 27 Le lendemain quain ils entendirent le son des cloches la famille s’eleva immediate-ment. Le grandpere ouvrit ses emballages et il trouva une nouvelle robe pour Violette et une pour sa grandmere. Ils habillerent tres vite. Le vieux grandpere et la vieille grandmere et la petite fille forma une image charmant quand ils sortirent pour l’eglise. Violette habilla une jupe de laine noir, une blouse de linon blanche, protega avec une echarpe de soie, une casquette de soie rouge, et des nouveaux sabots. Sa grandmere etait habile le meme, seul-ment la couleur etait plus sobre. Son grandpere porta des grosse pantalons de toile brun, une veste blue, un grand chapeau de sois et des gants de blanche. Le fete de Paques commence toujours avec le messe de Samedi Sacre. Les garcons du choeur chanserent un peu d’anthems de Paques. Le matin de Paques, ils sortirent pour 1‘eglise. La ceremonie premiere est a illumier la chandelle de Paques. C’est un taper qui est illumine par le prete etibrule jusqu’au Vendredi prochain. Les hymnes etaient chantes et etaient suivis par la chasse sacre du “ball,” qui est joue par le prete et ses assistants. Quand Violette retourna chez elle, ses parents lui dit a chercher et trouver des cadeaux. Elle chercha et elle trouva beau coup d’oeufs de Paques qui ses cousins l’ont envoye. Violette et sa grandmere commenca collarer des oeufs et les evoyerent leurs amies. Ce soir toute le monde visita leurs amies et Violette, quand elle dit sa priere a La Vierge Marie elle la remercia pour sa bonne grandmere, pour son bon grandpere et pour ses bonnes aimes. “ORIGIN OF THE FRENCH LANGUAGE” The French language has been developed under the combined influence of numerous forms of speech, among which Latin, as in every other tongue of Western Europe, takes a principal part. It would appear that in the fourth and fifth centuries of our era, the whole Gallia, from the Rhine to the Pyrenees, had adopted the language of the Roman conquerors. This was not the polished speech of the classic writers—the sermo urbanus—but the form of Latin that became common to all provinces of central Europe—the Lingua Romana rustica. In the seventh century two other forms of speech came into general use—a provincial dialect and a form of German. The latter, used in common by the Frankish and Teutonic tribes, receive d a more definite development under Charlemagne, who caused a grammar of it to be prepared for use of the schools which he had established. The prosperity of the South of France enjoyed its freedom, the beauty of the country, and the more Romanized character of the people, led to early development of the Provencal. By the lips of the troubadours there breathed forth a rich melody which, after a time was re-echoed in less harmonious tones by the trouveres of the North in their ruder tongue. Thie soft musical speech of the South, even tho it had an early decay, was the first to develop a literature; but when the North precipated itself upon the South in the furious crusades against the Albigenses, the language, literature, and even the religion of these southern provinces were all swept away together. Thus we have today the French language of the North. —SARA LOVE, ’22.