Trafalgar School - Echoes Yearbook (Montreal, Quebec Canada)

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RESOLUTIONS The clock strikes seven — I yawn and say, Oh. many good things will I do to-day, I will get right up, though ' tis early still, And when I am dressed I will study until The breakfast bell rings, I will not be late. But start for school at a quarter past eight. Arriving there I ' ll be sure to see, That my shoes are put where they ought to be, I ' ll fill up the ink-wells with greatest of care, When we go up for benches — of course I ' ll be there! I ' ll not let my thoughts wander, nor at noon linger late, But be out of the cloak-room — the clock strikes eight! I jump out of bed feeling very dismayed, And the harder I hurry the more I ' m delayed, I rush through my breakfast and run down the street, Just missing my car by a couple of feet. After waiting for ages I see one at last. Though it ' s going at a pace which is surely not fast. I run up the hill for I know I am late. And breathless arrive at the Simpson Street gate. The class-room I reach at two minutes to nine, And quickly join in at the end of the line. And after that day it may safely be said That I don ' t make such plans ' til I get out of bed. M.B.J.— V. L ' HISTOIRE D ' UN ARBRE II y a un arbre sur Simpson Street qui se trouve pres de notre classe. Les branches s ' etendent au travers de la fenetre et nous regardent quand nous avons la grammaire et la traduction. II pense, Les pauvres filles! Comme c ' est triste qu ' elles soient si V)etes. Mais I ' arbre nous aime, et quand le samedi et le dimanche arrivent il dit, Mais elles ont beaucoup a travailler. Elles sont plus adroites que les gargons. II a beaucoup de temps pour penser, cet arbre, et pendant toutes les longues annees qu ' il a vecu, il a vu des milliers de fiUes. II a sur eille la premiere classe quand il etait un petit arbre. II sait pourquoi nous ne savons pas les premieres pages du livre de la grammaire mais il ne le raconte a personne que son ami, I ' ecureuil, sage arl;re! Voyez-vous il nous aime! R.S.— VI. 29

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8.15 p.m. — Recreation. Let ' s go up and dance in the gym? Will you play? 8.45 p.m. — Visiting. All come down to the Lower to-night. 9.00-9.20 p.m.— Getting ready for bed. Hurray! there ' re only 73 more days till the holidays, girls! 9.30 p.m. — Lights out. Good-night, girls. Good-night, Miss . Chorus — Good-night, everybody. M.M.— IILA. THE SIXTH FORM SLEIGH-DRIVE Early in January, the Sixth Form decided to give a sleigh-drive and the day fixed upon was Friday, the 22nd of January. On Monday of that week the thermometer registered about forty degrees below zero and practically all the Sixth offered to stay at school and look after the supper. It gradually became less icy, however, and by Friday it was nearer forty above. Friday after- noon was spent between decorating the playroom and watching for the rain. About half-past four there was a smart shower, but fortunately it stopped a little later and it turned out to be a nice balmy evening. We went all the way round the two mountains and it really seemed as if all the small boys on the way must have heard of our drive for we were pelted with snow-balls at every turn. We enlivened the way by singing, and the effect no doubt would have been good if the two ends of the sleigh had been able to agree on a song, but most of the time they insisted on singing differ- ent ones. On arriving back at school, we had supper and a few dances before we went home, and we all felt very grateful to Mrs. Young for enabling us to have such a jolly evening. M.A.R.— VL 28

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CENDRILLON Le onze fevrier nous avons eu un theatre fran(;ais, nomme Cendrillon. II fut donne par la 2ieme classe. Beatrice Howell jouait le role de Cendrillon. Janet Smart et Betty Mudge, les deux soeurs de Cendrillon; Joan Chillas devait etre le prince, mais, a la derniere minute, etant malade, son role fut rempli par Mile. Y. Dorion. Hazel Howard fut le pere, et Ruth Bishop la fee marraine. II y avait trois actes et cinq tableaux. Le premier tableau representait: Avant le Bal la chambre des soeurs de Cendrillon. Rose et Silvie se querellent pour savoir qui le Prince aime le mieux. Rose dit ' Le Prince vient a moi la premiere, et Silvie, furieuse, repondit: A toi! c ' est a moi! Rose hors d ' elle- meme: J te donnerai une bonne gifle. A ce moment le pere entre et desirant mettre fin a cette querelle, dit: Voulez vous bien vous taire! Le 2ieme tableau: Cendrillon au coin du feu chante une petite chanson appelant sa marraine. Celle-ci apparait avec sa baguette fait des signes autour du feu. Les petites fees arrivent en dansant. Cendrillon accourt dans son costume de bal. Elle part accom- pagnee de bons souhaits de la fee marraine. Le 3ieme tableau: Le Bal de la Cour. Le Roi et la Reine assis sur des trones. Le minuet de la cour danse par les seigneurs et dames de la cour. Le Prince entre. Cendrillon fait son apparition au ba l; le Prince s ' approche d ' elle et dit: Voulez-vous me faire Thonneur de danser avec moi? Le bal est ouvert par Cendrillon et le Prince. Cendrillon entend sonner minuet, et disparait de la cour, en perdant sa pantoufle. Le Prince la ramasse; la pose sur son coeur et dit: J ' epouserait la jeune fille a qui cette pantoufle appartient? Le 4ieme tableau: Apres le Bal, chez Cendrillon. Les deux soeurs se querellent encore. Le chambellan frappe a la porte, port- ant sur un coussin une pantoufle. Rose et Silvie disent en I ' essayant Elle me va! Elle me va! Mais elle ne va pas. Cendrillon chante dans la cuisine a ce moment. Le chambellan demande: Quelle est cette douce voix? Appelez-la. Cendrillon essaye la pantoufle et elle lui va. Les deux soeurs demandent pardon a genoux. Cen- drillon accepte d ' etre la Princesse du Prince et demeurer dans son palais. Le dernier tableau: Le Marriage a la Cour. On voit le Roi et la Reine assis sur leurs trones. Son Altesse le Prince Royal et Cendrillon habillee d ' une robe merveilleuse en- trent et se mettent a genous devant le Roi et la Reine. On les marie. Puis, les deux soeurs de Cendrillon sont aussi mariees a deux seig- neurs de la cour. La piece finit par un choeur de paysans et de paysannes qui viennent feliciter le Prince et la Princesse de leur heureux marriage. J.C.— 11. 30