Tillsonburg District High School - Tatler Yearbook (Tillsonburg, Ontario Canada)

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UNE AVENTURE NOCTURNE Un soir, apres avoir assiste a I'eglise, mon amie et moi nous conduisions l'auto ei la campagne. Nous etions bien aise de pouvoir faire une promenade parce qu'il faisait bien chaud. Alors mon amie a en- trevu une lumiere dans Ia foret eloignee. Cette lumiere nous a effrayees parce qu'un grand feu etait ce dont nous semblions avoir particulierement peur. Nous avons decide d'envoyer chercher un avertisseur d'incen- die. Mettre cette idee it execution il faut que nous allions it la ville. Nous avons fait ceci fr toute Vitesse. Une investigation du feu etait fait et l'on en a trouve la cause etre la combustion spontanee. Le feu etait bientot eteint et nous sommes rentres chez nous. Par Margaret I-Iowey, XIII L.Tl.O,M . UNE AVENTURE NOCTURNE Un soir, je faisais encore mon devoir, a une heure. fetais tres fatiguee, mais mon devoir etait presque fini. Tout at coup, j'entendis un bruit etrange. Je jetai un coup d'oeil au bout de la salle, et j'y vis une grande poule, en efifet Ia plus grande poule que j'avais jamais vue. Des frissons moi couraient sur la peau. Je ne sus pas ce que faire. La poule s'avancai, mais je m'assis silencieusement incapable de me remuer. Elle vint tout pres de moi. Puis je lui don- nai un coup de pied. Je glissai de ma chaise et je tombai lourdement sur le plancher. Je jetai un coup d'oeil autour de moi. Ou l'oiseau etait-il? Puis je comprenais. La poule n'avait ete quiun cauchemare et j'en etait bien aise. Apres cela, je ne mange jamais 'la poule frite pour une collation nocturne. Par Maxine Sanderson, XIII iT,,T,.O1l.M.i. French Heck and twenty, This French sure gets me, Guess I'll be seventy Before I subdue thee. Uoan Merriott, XAD 74 PARLEZ-VOUS FRANCAIS ? You do not need to answer the title question, but if you would like an easy Cso the experts sayj way to learn the language in hand, buy a newspaper entitled Fran- cais a la Page or visit the French people in their native land. VVe tried the former, and for the mere sum of thirty-five cents received five issues of this bi-monthly paper. Besides current events, which were not so current when we read them, there were charming editorials, humorous items, jokes, and cross-word puzzles, a help in vocabulary. In respect to the infallibility ofthe paper I cannot vouch for it, but I can, at least, guarantee its enjoyableness to the reader. Margaret Cooper, XII-A -..-.i0,.., Miss Ostrander: Translate this sentence, please, Noel. 'Mon chein est plus joli que celui de mon professeur'. Noel Mason: My dog is better-looking than my teacher's.U Miss Ostrander: I'm glad you put the 'si on teacher. QIVI aybelle Thompson, XIIBD fa N -., ' 55 Q 4-Q-.i..f-f -Q5 -S s',-' V X- - -Q I 1 Z P 1 all Hlfu IV, Yum -STUNNII FIIIVNHETERQ FHM 0 THE TATLER

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la musique et beaucoup de tumulte en entrainant la poupee entre eux. Leur joie allait si loin que quelques-uns d'eux faisaient des feux dans les rues et que meme la Police etait alertee pour tenir l'ordre entre ces rebelles . Enlin, la poupee etait presentee au maire d'Anvers et apres un jour de joie retournee au musee de Malines. Il est aussi la coutume dans presque toutes les ecoles de faire un voyage toutes les annees. Selon le degre on fait des tours dans la patrie et en France, en Hollande, en Luxembourg, en Suisse ou en Angleterre. On lo e dans des Auber es. our la . ,,g ., , . , g . . , Jeunesse une societe qui sest distribuee dans beaucoup de pays et ou on a du loge- ment et des re as at un rix convenable. P Vous ririez, mais c'est naturel la-bas que les garcons portent des culottes. Peut- etre ca vous semblez extravagant et ridi- cule mais c'est l'usage, et ca montre que ce ne sont pas seulement les frlles qui ont de belles jambes! En outre de ces ecoles que j'ai nom- mees on y trouve aussi des ecoles de musi- que et des conservatoires qui permettent a tout le monde un developpement musicale. Surtout des groupes de gymnastes sont devenus populaires et une large -Societe, appellee La mere du nord contenant cinq cents eleves est un des plus grand du pays. On y forme des danseuse et des acrobates mais beaucoup d'enfant, la joignent pour leur sante. Ces groupes donnent des pre- sentations dans plusieurs villes du pays. Quelques eleves superieurs sont en train de s'entrainer pour les jeux olympique de 1952. Un Belge ressemble at un Francais, vigoureux et vif, les ecoliers sont eveilles et une saillie de temps en temps les aide dans leurs etudes. fEditor's Note: Liliane, who came to Canada in May, 1950, lived all her life in Belgium and attended school therej 'N' KH? 'Lau X f!9f3-. , .Www '-may emi M, 'uv :L T I' :::'.-' c a s THE TATLER LES POUSSES EXTIRPEES La partie de notre menage dont je suis le plus Her c'est le jardin. Notre jardin est assez grand-vers vingt-sept metres de long sur quatorze metres de large. Un tiers de cette terre est du gazon et tandis que nous cultivons quelques legumes a present, nous esperons qu'un jour le jardin sera tout plein de fleurs. Les lits a fleurs sont les plus beaux au printemps lorsque s'epanouissent les tulipes, mais cet an nous eumes de l'ennui au sujet de nos tulipes. Un matin, en cherchant des pousses, j'etais ebahi d'en voir que plusieurs avaient ete extirpees dans une maniere qui faisait penser au resultat de l'operation des cxseaux. Tenant absolument fi trouver une solu- tion, je demandai a mon pere, qui est mati- nal, cle guetter soigneusement le jardin avant d'aller au travail a six heures et demic du matin, Au luout d'une semaine il clecouvrit la raison pour cet etat-quelque chose de bien simple. Un petit lapin qui habitait la ravine au fond du jardin avait monte la colline la nuit pour manger les pousses fraiches! Alors, je me rappelai qu'en automne, en sarclant les fraises, j'avais trouve la demeure d'une famille de lapins, et je les avais aimes beaucoup! Que j'avais ate fou!! Par Richard Jones. XIII L -Olil UN PIQUE.-NIQUE Un jour pendant les vacances quelques jeunes gens de motre vousinage et moi nous nous sommes decides a faire un pique- nique. Nous avons emballe notre panier et apres une collation, nous sommes partis en auto pour le lac. Apres que nous y avons atteint, nous avons joue au cache-cache, au baseball, et toutes les jeux plus gai. A midi nous avons etendu la nappe, deballe les comestibles, et nous avons mange notre diner. Puis nous sommes partis au bois a cueillir des Heurs. Plus tard nous sommes revenus au lac et nous sommes alles nager devant notre depart pour chez nous a peu pres cinq heures. Nous avons passe une journee agreable au lac. Joyce Hicks, XI-A 73

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Roman Virtues The rise and fall of the Roman Empire was a great event in the history of the world. W'hat were the reasons for the growth of this great empire? Rome grew because of the virtues of her people. She was great because her citizens were patri- otic: she expanded because her army was obedient to stern discipline, and because in- dividuals were brave, bold, and courageous, she had the support of her conquered peoples because she was tolerant and treat- ed them kindly. The aim of the Roman education in re- publican times was to make a nation of brave warriors and dutiful citizens. As the virtues and ideals required were mostly of the stern variety, the best opportunities for putting them into practice came in war. Accordingly, the highest results of this training were reached in the Samnite Wars -a period thereafter known as the golden age of heroism and virtue. One of the most prominent heroes of these wars was the manly consul, Publius Decius. Each consul had dreamed on the night before a battle that the side would win whose general would willingly give his life for his country. Both were eager to do this, but it was de- cided that the one whose troops first began to give way should be the victim. The troops of Decius being the first to fall back, the consul rode into the thickest throng, of the enemy, perishing on their spears. This valorous deed had little effect on the enemy, but it rallied the Romans, who went on to win the battle. A citizen of republican times was, in the highest degree, obedient to authority, pious, frugal, and generally honest. So highly were these ideals worshipped, that the pen- alty for infringement was death. There are many stories like that of Titus Manlius, who, as a consul during a Samnite War, ordered his beloved son to be beheaded for disobeying orders, even though a victory resulted from the breach of discipline. The title, The Brave Deed of Mucius Scaevolaf' reminds us of the time when we had to wearily translate that passage from Latin For Today. This story is illustrative of the courage of the Roman soldier. Rome THE TATLER was being besieged during the course of the war, and Caius Mucius was sent into the enemy's camp to kill their king, however, he killed the king's secretary by mistake. lNhen he was brought be fore the king, he was threatened with being burned alive if he did not reveal whatever plots had been made. Mucius thrust his right hand into the altar fire and said to the king, See, how little those think of the body who have glory in view. The king was too brave a man himself not to appreciate the bravery of his enemy, and he ordered the young man to be sent home unharmed. By this exploit, Caius Mucius earned his other name, Scaevolau-left-handed! Typical of the fanaticism associated with discipline, the following story shows how profound was the regard of a Roman for the niceties of respect: The general, Fabius Cunctator, had a brilliant son, who was made consul. This office put him at the head of the army, above his father. The general rode up to greet his son as usual, but the son ordered him to dismount before he ventured to speak to a consul. The gen- eral, whom all Rome delighted to honour, was greatly pleased, and said, My son, I wished to see whether you would remember the respect due to you as consul of the Roman people. VVhen Camillus was campaigning against the Etruscans, and was about to start a siege of Falerii, a school master approached him with a group of students. He put forth the plan that Camillus keep the boys and, in that way, force their fathers in Falerii to surrender, and he expected a great reward for his suggestion. However, Camillus answered indignantly, XVe do not make war on boys. VVhen I win, I win by brav- ery, labour, and armsfy He then tied the tutorls hands behind his back, and gave the boys the privilege of whipping him back to town. This story illustrated the sense of fair play that had been developed by this race of warriors. The forgetting of the ideals and virtues, along with other factors, and the relaxation from discipline, brought about the gradual disintegration of the Roman Empire, leav- ing her weak for invasion by the barbarians. Mary Elizabeth McLeod, VIB. 75