St Joseph Academy - Sajoscript Yearbook (Columbus, OH)

Page 84 text:

P . Q 4' 1 E i l

Page 83 text:

SANDALPHON Le Scwiez-Vous llI.xRG.xRE'r ZETTLER Grad ua tc Peut-etre, quelque fois clans votre vie, vous avez passe des lieures sous le soleil brulant d'ete, maniant la raquette avec plus ou moins d'ad.resse, et cnvoyant les balles audessus du filet avec une habilite marquee. Au moins, vous l'avez vu faire. C'est un beau sport--ce jeu de tennis et il avait son origine dans la France. Les 'ardins des Tuileries, dont la beaute a'outait a l'ele0'ance et au 4 n 1 r s . y 1 Q n '5 4 plaislr de la famille regnante et de la haute nobilite, temoignalent le premier un jeu charmant nomme Le jeu de paumef' On le jouait avec une balle de lieffe. Le 'oueur fra Jait la balle avec la main ffantee. Une Jetite levee s J I , , N s lb N de terre, un .peu plus dun demi-metre de lrauteur, remplacait le hlet d,aujourd'hui. Ne pouvez-vous vous imaginer les hommes vaillants et les belles dames de la cour se donnant a cette recreation saisissante? Ceux qui rendaient visite au palais royal regardaient ce jeu nouveau avec beaucoup d'interet. ll leur semblait etre en harmonie avec le caractere francais-vif. anime, adroit. Tandis que le francais excite au milieu du jeu s'ecriait Tenez,- tenezfl son frere anglais, plus prosaique, ne faisait que s'amuser de ces procedes. Cependant, le jeu Vinteressait et bientot il l'introdusait dans son propre pays. Mais puisque le ciel d'An,qleterre ne souriait pas sur le sport comme celui de la belle France, il fallait le jouer au dedans. Quelques autres petits changements etaient faits. Et Ie nom, jeu de paume ? Bien, c'est precisement ce que je veux vous dire. Ifexclamation francaise en traversant la Manche se changeait d'une interjection fi un nom et devenait notre tennis, Mother M ILDRED DOUGLAS G rad u a te Mother of mine! God's boon from above, Dear gift of His loving care. Oh! what a treasure to cherish and love, There's none with you to compare. Though life is a pathway hedged with thorns, You see but the roses that bloom, A Your courage has helped me brave all its storms, Like sunshine that scatters the gloom. Your eyes, so true, are deep as the seag Your cheeks are soft and fair, Your voice always so sweet to me, Sounds oft like a low-toned prayer. So, Mother of mine, as the years speed on, Watch still as you watched of old, And lead me safe through pain or song, By the love in your heart of gold. page eighty-one

Page 85 text:

SANDALPHON Second Primary MARY ANDERSON RUTH ANDERSON DOROTHY BUCHANAN DIARY ANN CRAWFORD MARY KATIIRYN DAVENPORT BETTY DOI-IERTY EMILY DOHMEN RITA DOWNEY DIARY MARGARET Fox DOROTHY FRANCISCO BETTY GEYGAN VIRGINIA GULICK MARGARET HAYES ROSEMARY HPIMMING JANE IIEMPY DOROTIIY MONE LUCILLE MURPHY MARY OTIAGAN FLORENCE PRICE DOROTIIY THONE Absent JANET COLLINS JULIA HERIG NANCY RYAN RITA VALENTINE First Primary JOY COUCH ROSEMARY DOLAN BETTY EBERST DOROTHY EISELE JANE MARIE EMIG JANE FOLLMER MARY ANN GRIFFIN KATHRYN HARRIS JEAN HOWARD AUDREY KERSCHNER FLORENCE KESSLER ANTOINETTE LINDSEY CATHERINE BICCARTHY ANNA LOUISE MCDONOUGH EIIEANOR MANGO BETTY MARRACI: RIIRIAM BIERTZ BIARJORIE O,DC7NNELII DIARY CATHERINE ROBERTS BIARY LOUISE RUBADUE JUNE SAPP BETTY SCHUMACKER IRENE XVINTEROL EDNA ZENKER MARY LOUISE Rrrz, R. I. P. RITA NONEMIKCKER, Absent LORETTO BOWER DIARY CATHERINE NEEDLES R. I. P. page eighty-three