St Dominic High School - Echo Yearbook (Lewiston, ME)

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,Wu .,-W., l DU VENT PLEIN LEURS VOILES! Les Iinissants de '48 sont, sans exageration aucune, les meilleurs que l'Ecole St-Dominique ait eu l'honneur d'abriter: Ils sont en effet beaux, grands, amicaux, ages, soigneux, devoues, chevaleresques, interessants, bons, debon- naires, spirituels .... - Robert Gagnon. Chaque fois que j'apergois de ma fenetre la petite Ecole rouge, je penseia ma classe qui se compose de vingt gaillards, tous fort differents sans douteg mais dont l'ensemble forme un groupe tres interessant. Nous avons des gars de pres- que tous les metiers: un electricien, julien Moreau: un cordonnier, Tit-Jeang deux cultivateurs - ou plut6't, pardon, deux 'horticulteurs' -- Andre, et son tout jeune voisin, le quasi-imberbe Guilbertg un chef d'orchestre, George Bosse- ninig un journaliste, Robert Gagnon, du plus grand quotidien franfais d'Ameri- queg des orateurs, Duke, Bert, Bob, Dick et Shorty plusieurs acteurs, Tony, Boogie, et Bobg des scientistes, les deux inseparables, Robert et Dick. Et j'allais oublier Tit-Tur, un tout petit bonhomme que nous appelons l'at6'me.'v Comme celui-ci ne degage son eiiergie qu'a fort petite dose, il n'y a pour nous aucun danger. Enfin, il faut bien le dire aussi, nous avons parmi nous un agent d'assurance, Dom, qui nous assure que la mort est un moyen d'augmenter nos revenus. Fred Delisle Nous parlons evec une certaine f1erte'me'leie d'envie de notre fameuse 'rangee des GROSSES TETES' oil se trouvent les Delisle, les Blais, les Dubois, les Courtemanche, les Hemonds, et les Beaudet. Ce dernier, toutefois, ne devrait pas loger lag mais, vous savez, quand on a d'la pull!! Dom Casavant Notre si sympathique Pasteur, le Rev. Pere Drouin, Curef et nos maitres dc-fvoues ont fait leur possible pour nous comprendre et nous aider de toutes fagons. Nous leur devons une bonne part des succes et des joies de nos annees d'etude. Bert Dubois Un lien solide d'amitie1 nous unit tous. Si une legere ombre de tristesse passe sur nos visages, meme au grand jour de notre graduation, c'est que celui-ci, helas, amene aussi l'heure melancolique ou des amis doivent se quitter. Robert Blais

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THE SENIORS GO TO WASHINGTON For months we had talked about it, dreamed of it, slept over it! At last the great day had come. On this April 18, armed with our bags and cameras, we were leaving St. Dom's at exactly 2:23 P.M. The ride to Boston was just another trip. There we boarded another bus with fine reclining seats, a quiet motor, air conditioning, and, believe it or not, a good radio which was kept busy at all times. At 4 A.M. we stopped in front of the Taft in New York in order to freshen up a bit. From then on, it was a seldom interrupted trip of over 6 hours. We reached the national Capitol at 10:30 and checked in the Harrington. For four full days, we visited Washington! How could I tell you what we saw, the experience that we got? Washington! the city of distances, of wide and straight' streets, of marble and granite! We soon realized that it would take a few years to get thoroughly acquainted with the wealth of historical monuments and museums that we were trying to see in four days .... The Capitol, the White House, Mount Vernon, the Lee Mansion, the Jefferson and Lincoln Memorials, the Pan-American Building, Washington Monument, the Smithsonian Institute, the Library of Congress, etc., etc., such were the wonders we could but cast a hasty glimpse on. Some of the boys shall never forget their walking up and down the 900 steps at the Washington Monument . . . Everyone of us brought back very personal memories. For some, it was the heat that scorched usp for others, it was the long and tiresome walks that we had to makeg a few were impressed by the F .B.I. departmentg more than one marveled at the beauty of the Library of Congress or the Pan-American Building: as for me, I shall never forget the Mellon Gallery of Art, with its huge marble columns, its high and vast rooms, and its mirror-like floors. We were fortunate to have very good cicerones in the persons of Mr. Joseph Gosselin and Colonel Francis McCann, two residents of Washington, who are good friends of our Principal. They were with us all day Sunday and Monday, and they took us to the various buildings which, of course, they knew very well. We are very grateful to them for the time and help which they so graciously contributed to make our visit in Washington profitable. We left Washington Wednesday morning at 8:30 A.M. We stopped at Phila- delphia where we enjoyed a tour that took us to the Liberty Bell, Betsy Ross' Home, and most of the historical places of the city. We were perhaps a little disappointed at the general appearance of Philadelphia. At 3:30 we were en route to New York where we arrived at 5:45, just in time for dinner. We were very lucky to have selected the Taft as our hotel while in the Metropolis. Its splendidlocation allowed us to reach most of the buildings and theatres in a few minutes' walk. The service was so courteous and efiicient that we looked like millionaires .... The three days we spent in New York were well occupied: we left early in the morning and came back late at night. The Planetarium, the Rockefeller Center, the Statue of Liberty, the Empire State Building, St. Patrick's, Radio City Music Hall, the Roxy, the Center Theatre, etc., were some of the places which we had the opportunity to visit. We saw the Opera, La Traviata, and the good Broadway Musical, Oklahoma. This was a wonderful adventure and I wish we could have continued it for a month. As all good things must come to an end, we left New York at 3 o'clock, Satur- day afternoon, with empty wallets perhaps, but with a wealth of delightful memories and wonderful experience. We were home early enough Sunday to take the 5:30 mass at St. Peter's. Of course, the rest of the day - of the week, indeed - was spent in trying to recuperate from the lack of sleep .... Richard Lambert, '48

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DE LA CLASSE COMMERCIALE u 1 ' - l ' 1 1 Il m est tres doux de revrvre par la pensee tous mes beaux Jours d ecole. Au mois de septembre dernier, nous retournions en classe pour notre derniere anne-fe d'6tude. Nous retrouvions notre meme professeur qui nous attendait le sourire aux levres, content de nous revoir. Nous etions nous-memes heureux de pouvoir profiter de ses bons conseils pour une troisieme annee. Cette derniere annee a e'te la plus importante pour nous, puisqu'elle aura etc la preparation immediate de notre entree dans la grande vie ou de penibles obligations nous attendent. L'6ducation chretienne que nous avons recue a l'Ecole St-Dominique nous aidera a vivre comme de vrais chretiens et de bons citoyens. l Roland Allarie, '48 j'emporterai de l'Ecole St-Dominique une conviction inebranlable: je n'aurai pas peur 'de montrer que j'ai recu une education catholique. Roland Landry, '48 Ce qui m'a le plus impressionne pendant les quatre annees d'etude 'a St- Dominique, c'est le bel esprit de famille et de cooperation qui regne parmi les eleves en ge'nc-fral, plus specialement parmi les eleves de ma classe. Bertrand Pelletier, '48 je n'ai ete que deux ans at St-Dominique: je suis rentre en troisieme l'annee derniere. Pourtant, il me semble que j'ai toujours ete de la famille. Ces deux annees demeureront l'un des plus beaux souvenirs de ma vie. Raymond Ouellette, '48 Je n'ai peut-Gtre pas toujours eu beaucoup d'ambition dans mes etudes. Pourtant, j'ai re'ussi a obtenir des notes convenables. Savez-vous quelle en est la raison principale? C'est que j'ai voulu participer 5. tous les sports possibles et il me fallait bien alors passer dans tous mes sujets .... Ce qui m'a fait le plus grand plaisir au cours de ces quatre annees a St-Dominique, c'est d'avoir ete avec mes compagnons l'objet de l'estime et de l'amitie'd'un grand nombre de nos concitoyens, comme l'ont prouve les honneurs rendus aux e'quipes de hockey et de football. Roland Bellefleur, '48 Mon entree Ei l'EcoIe Superieure St-Dominique en janvier 1947 marque le debut d'une serie d'e'venements agrefables et inoubliables, que le seul nom de mon Alma Mater ravivera dans ma memoire. Comme ancien eleve, j'espere bien avoir un jour le moyen d'aider cette chere ecole afin de montrer toute la reconaissance que jeprouve pour Veducation que j'ai recue. Marcel Poirier, '48 Bien que mes Etudes aient ete interrompues par un sejour d'un an et demi dans l'arm6e, je suis presque surpris de voir arriver si t6t la fin de mon cours secondaire. je puis comprendre maintenant Vimportance d'une formation catholique dans ce long voyage de la vie. A Saint-Dominique j'ai eu le plaisir de fraterniser avec d'excellents jeunes gens qu'il me fera toujours plaisir de rencontrer. Il convient de remercier nos maitres our le courage et le devoument qu'ils ont apportes a la grande oeuvre de notre ducation. Laurier Maillet, '48 Pendant ces quatre dernieres annees, j'ai e'te comble d'honneurs: mes con- freres m'ont elu et maintenu president de la classe: j'ai recu des trophees pour succes athletiques, etc. je me demande comment je pourrai prouver at mes confreres et Z1 mes mafitres la gratitude que je leur garde. Je viens de penser 5 quelque chose .... Dans dix ans, je vous convoque tous 21 une reunion de l'Ami- cale et je vous promets de prononcer un discours enlevant d'au moins une heure. Leo Therriault, president