St Clare High School - Je Me Souviens Yearbook (Woonsocket, RI)

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The Aunt . The Niece . The Mother . Friends . 1' he Father . The Mother . Maida - 10 years The Maid . . The Burglar Friends . FREDDY'S AUNT . . . . . . . . . Denyse St-Germain, '49 . Juliette Brassard, '50 . . . . . . Pauline Choquette, ,49 . Jeannette Bouvier, '50, Irene Regnere, '49 THE GIFT OF THE MAG! . . . . . . . . . . , Dorothy Lnvnllee, 'SO . . . . Lorraine Richard, '50 old . . Denyse Brodeur, '55 . . . Jeanne Jourdenais, '51 . . . . . . . . Corine Sanchas, '49 . .Christine Lamoureux, Margaret Lamoureux, and Charlotte Brodeur

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LES SENIORS EN PIQUE-NIQUE Lecteur, vous avez l'air de douter qu'elles y soient au complet. Cherchez bien, et surtout lisez attentivement, vous les decouvrirez toutes sans exception, car les Seniors aiment beaucoup les pique-niques . . . Mefiez-vous d,elles! . . . elles aiment a taquiner . . Ah! quel beau jour pour notre randonnee champetre! Voila les eleves qui s'amenent par petits groupes! Bientot, nous y serons toutes. Notre chauffeur M. LeFRANCOIS SE met au volant et nous fait signe de monter. JOYCE, ma cousine GERMAINE, arrive en courant, et pousse tout le monde pour prendre une bonne place. Allons! une eleve POLIE NE fait pas celag il valait mieux rester dans la RUE, TE prendrait-on pour ma parente? On arrive a placer tout le monde. Nous sommes bien un peu 51 l'etroit, mais qu'importe! le trajet n'est pas long. Enlin, l'on part pour la belle aventure. JEANNINE, que l'on ne voit jamais sans livre, aurait LU SI LE chemin n'avait pas ete si raboteux. D'autres tricotent. JOAN, tu brodes sur ton chandail? mais quoi donc? un mat? - Oui, je pose un MAT DE LAINE sur mon petit bateau! Regarde, comme ce sera JOLI! La route que nous suivons, nous conduit sur une elevation d'oi1 nous pouvons con- templer LA VALLEE la plus magnifique. L'autobus ralentit . . . Des cris de joie an- noncent bient6t notre arrivee a tous les alentours. En mettant pied at terre, JANICE, amante de la belle nature, s'ecrie: Cette PATRIE-CI A DU CHARME as nul autre endroit pareil! C'est ideal, pour un pique-nique. Sous LA RAMEE un grand nombre DE NIDS SE balancent et leurs h6tes charmants nous egayent de leurs joyeux gazouillis. La promenade au grand air a aiguise les appetits. Les paniers s'ouvrent, et l'on grignote en attendant le banquet champetre qui se prepare sous un POIRIER en fleurs. UJACQUELINE! DIS, ON NE pourrait pas avoir des fleurs pour decorer la table? - Mais oui! voici des ROSES BLANCHES et des LOUISES que j'ai cassees, ce matin au parterre. Nous irons cueillir des MARGUERITES ai la lisiere du bois. La sIRENE an- nonce l'heure du diner. Oni ne se fait pas prier, car toute cette jeunesse meurt de faim '. . On pique-nique dans une grande gaite, au milieu des cris de joie et des fusees de rire. Comme j'aime 51 prendre le diner dans un tel decor! Entendez-vous les petits oiseaux? Apres le repas, moi, je vais leur porter mes MIETTES de pain, pour les recom- penser de leur gentillessef, HELENE, SUZANNE, CONSTANCE et REJEANNE qui ont prepare leur gouter de compagnie, s'apergoivent qulelles ont oublie les OLIVESQ toutes les QUAT' RIENT . . . NE pas rire en pique-nique, meme quand on a des me- saventures, ce n,est pas etre en accord avec la scene. Il faut dire que SHIRLEY, dont les propos joyeux sortent toujours at FLOTS, REND CE groupe tres anime. JACQUE- LINE RIT A gorge deployee . . . En ouvrant sa boite delicieusement preparee par sa maman, PAULINE s'ecrie: Quel regAL, MA chere, aide-moi as devorer ces prALINES! - Qu'est-ce que ca? - Goiite, tu verras ce que c'est! - Comme tu manges! et tu es toujours si maiGRE! - NON, elle ne le serait pas longtemps, si nous venions tous les iours ici . . .