Spence School - Yearbook (New York, NY)

 - Class of 1948

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Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1948 Edition, Page 71 of 88
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$$ LES TAPISSERIES FRANCAISES Les tapisseries francaises au Musée Metropo- litain sont arrangées selon les siécles depuis le quatorzieme. Elles viennent des vieux chateaux francais. Autrefois, les dames tissaient ces tapis- series pour les murs nus des chateaux. Au quatorzi¢me siécle, on faisait des tapisseries qui représentaient des faits religieux, tels que la vie de Saint Etienne et ses miracles, ou la vie de la Sainte Vierge. Les visages sont expressifs et les costumes sont intéressants comme forme et couleur. IL y en a de beaux rouges et de beaux bleus. Les fonds sont simples et d’ordinaire d’une couleur. Comme les siécles passaient, la tapisserie deve- nait plus ornée, plus grande, et elle perdait sa simplicité. Les visages devenaient plus développés, plus modernes, les vetements beaucoup plus ornés et détaillés. Il y a plus de personnages dans les tapisseries, et maintenant il est plus difficile de distinguer leurs actions. Les fonds sont de di- verses couleurs. MON CANARI, CHIRPY Mon canari, qui s’appelle Chirpy, est jaune et gris. Il ne chante pas, excepteé a midi. Il a juste fini de muer. La semaine derniére, on lui a coupé les ongles parce qu’ ils étaient trés longs et il était pris sur son perchoir. Chirpy mange beaucoup et il est trés gras. Il mange un biscuit d’ceuf et deux différentes graines pour canaris tous les jours. Sa cage est tres grande et Chirpy l’aime. C’est un canari doré, entraineur d’opéra. J aime beaucoup mon canari. Est-ce que vous l’aimez ? Daryl Beckman, VII La Chasse de la Licorne est l'une des séries les plus connues. J’aime le feuillage vert et jaune, les mouvements gracieux, l’uniformité, et le sym- bolisme qui s’en dégage. Je trouve que cette série est plus artistique et délicate que les autres. J’aime aussi l’Apocalypse et les tapisseries qui repré- sentent la vie de Louis XIV. Par ces tapisseries on peut apprendre les événements quotidiens du peuple et de la royauté a cette €poque. Avant que les tapisseries deviennent tout a fait modernes, il y a une série qui représente des mon- tures pour les tableaux. Il y a toujours des anges, des trompettes et des arabesques. Elles sont jolies, décoratives, mais elles ne veulent rien dire. Les tapisseries modernes sont horribles, 4 mon avis. Elles sont comme les peintures modernes abstraites. Les couleurs sont trop vives et ne sont pas harmonieuses. La plupart expriment des sen- timents qui ne semblent pas honnétes et sinceres. Peut-étre faut-il étudier l'art abstrait pour les appreécier. Patricia W eenolsen, XII UN PORTRAIT Peut-étre ne me connaissez-vous pas. Je suis petit, out, trés petit! et j'ai six longues jambes et six grands pieds. Mes oreilles sont bleues. Jat les yeux rouges et les cheveux courts et verts. Pensez . . . Qui suis-je? Je suis le microbe dans la salle trente et un. Frances Ewing, VIII LES DEUX ARBRES Il y avait dans une forét pres de Paris deux arbres; l’un était un pin tres grand et majestueux, et l’autre était petit. Mais les Oiseaux aimaient mieux le petit arbre parce qu'il était plus aimable que l'autre. Le pin disait toujours: “Quelque jour, je serai grand et beau, et tout Ie monde m’admirera.”’ C’est pour cette raison que les oise- aux n’aimaient pas le pin. Un jour, trois hommes entrérent dans la forét et regardérent les deux arbres en réfléchissant. Finalement, un homme montra le pin et dit aux autres: “Voici le meilleur arbre de la forét. 67 Coupez-le.” Alors, les hommes coupérent le pin et l’emporterent loin de la forét. Le petit arbre regardait tout avec envie et surprise. Le lendemain les oiseaux vinrent et s’ intalléerent dans les feuilles des arbres. Le petit arbre leur posa des questions au sujet du pin et ils lui ré- pondirent: “Le pin qui parlait toujours de la renommeée sera un arbre de Noél dans une maison de Paris. Aprés Noél il bralera et ce sera sa fin. Maintenant, vous aurez plus de soleil et vous croitrez grand et beau. Nous ferons nos nids dans vos branches et vous nous protégerez. Elinor Myers, X

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VOCABULARY “These words in themselves are night”: Shadow, dark and pale moonlight, Silver, star-dust, shadow, pool, Graveyard, nightmare, dungeon, ghoul, Spectre, silence, dream, and groan, Black and still and warm and moan, Strange, mysterious and kind, Long and quiet, slow and blind, Empty, echo, lonely, fright, These words in themselves are night! Courtenay Dewey Gentry, XI “These words in themselves are fair’’: Shining, auburn, lucent hair, White neck, arms, light feet and hands, Blue, green, pinkish rainbow bands; Light, creation, thought, ideal, Painting, music, steadfast zeal; Stained-glass window, shaft of light, Church, and choir, and Christmas night; Joy and sorrow, solitude, Dancing, singing, quietude; God, and Earth, and loving care, These words in themselves are fair! Claude Goffart, XI “These words in themselves are home’: Children, parents, dogs that roam, Tantrums, temper, sobbing fits, Smiles and laughter, humour, wits, Silver, napkins, dinner plates, Flowers, fences, white-washed gates, High-backed chairs and sagging couches, Mumps and measles, father’s grouches, Dripping raincoats, muddy floors, Cats and dogs and scratched-up doors, Lizards, toads, and mice, and birds Home makes up these simple words! Patricia Williams, X1 SEA FANTASIA Fantastic sea of checkerboard: Red from the Red Sea, black from the Black, Shades of azure and turquoise from Mediterranean shores White from the river through Lake Geneva, Green with bitter salt from Atlantic and Pacific, Yellow from a muddy Chinese river. Enchanting. Star-shaped is the ship that sails this sea With every point a tale of past adventure. Center of fantasia. Norseman’s proud curving masthead With eye of rugged sailor for a prow; Egyptian trireme—bronzed, sweating backs Straining to the mighty oars; Paddle wheels of a river boat thrash The vari-colored water; Dim small boat which for a dime Gladly takes one for a trip to Welfare isle; Gun-metal gray of present warship With mounted hatred in its turrets, Thousand masts and simple sails. Skull and crossbones, the Jolly Roger's omen Whirling, whirling, point counter-point Far-off Brittania rules the waves. No captain for my star ship Except any free sail who deems to try. But this is my dream And knowing the dreadful end From this point counter-point, The sinking of my ship into a Charybdis, N’er to rise up, I have made no human. For who can live long in “Fantasia” ? Sherry Cogan, X 66



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EL SIGLO DE ORO EI siglo diez y seis es el Siglo de Oro de la literatura espafola. A continuacién nos ocupare- mos de dos de los genios que figuran en esta €poca. La novela esta representada por la obra maes- tra de Cervantes: Don (uijote. Miguel de Cer- vantes Saavedra nacid en Alcala de Henares y fué bautizado el 9 de octubre de 1547. Estudi6 en Madrid con Juan Lopez de Hoyos y mas tarde fué a Roma. Después de pelear en Lepanto, donde perdié la mano izquierda, estuvo cautivo en Afri- ca durante cuatro afios. Después de regresar a Espafia, escribid La Galatea, una novela pastoral, en 1584. Después de muchas aventuras, volvid a dedicarse a las letras. Escribid también Obie tea- trales, pero la mayoria de ellas se perdieron. En 1605 su obra maestra fu¢ publicada en Madrid. Era muy popular pero Cervantes continuaba sien- do pobre. Cuando Ceravntes principid a escribir Don Quijote deseaba componer una parodia de los libros de caballeria, pero a medida que escribia se interesaba en los personajes que estaba creando y el resultando fué una de las mas grandes y pro- fundas filosofias de la vida. Los dos personajes principales de esta novela son Don Quijote, un pobre hidalgo que, después de leer muchos libros de caballeria, se ctey6 él mismo un gran caba- llero. Su compafiero era Sancho Panza, que Ile- vaba en vez de armas una bota de vino y un saco de provisiones y en la cabeza la realidad para contrarrestar las fantasias de Don Quijote. Los dos encuentran muchas aventuras fantas- ticas, divertidas 0 tragicas. Don Quijote lucha por LA CLASE El segundo timbre para la clase de espafiol de la tarde, toca. Nancy por lo comtn, llega tarde. ‘Buenos dias Sefora’’ ‘Buenas tardes, Nancy” “Ahora, pagina 148, :Como forma usted el imperfecto de subjuntivo del verbo ‘ver’? — Y Maude contesta :Si?, pero no dice mas. Después de un rato, Sefiora trata de nuevo. ‘‘Empiece Ellie” Dado que tenga dinero, lo compraré”’ “No, a compraré’”. — :Por qué a Senora? Se- hora dice: ‘La bicicleta, naturalmente’’, Ellie ex- clama desesperada: ‘No hay una bicicleta en esta frase”’ “Pero se aludio a ella antes” Patricia esta resuelta, se prepara a escuchar una discusi6n de media hora. Después de ese tiempo, la cuesti6n no esta arreglada todavia. Llegamos a la segunda frase. :‘Hallé usted que una ilusién: la de arreglar el mundo a su gusto. Representa las aspiraciones de la humanidad, una figura mas tragica que cOmica. El producto mas tipico del Siglo de Oro es la comedia, y el padre de la comedia y el drama espanol es Lope de Vega. Lope Félix de Vega Carpio nacié en 1562 en Madrid. Empezo a escri- bir cuando era. muy joven. Su discipulo Juan Pérez de Montalvan dijo que habia escrito mil ochocientas comedias y cuatrocientos autos sacra- mentales. Muy grande fué la importancia literaria de Lope, pues de todos los dramaturgos él fué el que invento el mayor numero de argumentos y situaciones dramaticas y cOmicas. Sus personajes y argumentos sirvieron de base para los creados después por otros escritores. Al aparecer Lope de Vega empez6 una lucha entre las dos escuelas dramaticas: una defendia el teatro popular y combatia las normas clasicas; la otra, la escuela clasica, se adheria a las reglas griegas y latinas. Lope de Vega introdujo inno- vaciones y cred con su genio el teatro nacional. El genio de Lope de Vega fué principalmente su poesia lirica. Sus mejores comedias son las de capa y espada. Su genio era tal que cuando se realizaba algo imposible, se solia decir: “esto parece cosa de Lope”’ La muerte de esta gran figura literaria did oca- sion a una demostracién de duelo nacional. Nadine Bertin; Betty Blair, Spanish II DE ESPANOL 68 la comedia del teatro ‘““Cosmos’’ era interesante ? — Nancy hace su acostumbrada traduccién me- dida silaba por silaba. Maude la interrumpe entre las dos eles de ‘“‘hallar’’ y pregunta a Sefora. 2Vid Vd. “Annie get your gun?” Por consiguiente surge una discusion de quince mi- nutos sobre los méritos de las comedias, mantillas y corridas de toros. El tiembre va a tocar, Claudia toca a Nancy con el codo, siempre entre dos eles, para ver la hora. Ellie, que no siendo por sus chirridos, con- torsiones, gemidos, etc. etc. esta silenciosa, dice al cabo de un rato: “Asi todo, no creo que era una bicicleta, Senora’’. — Sefora se agarra a la mesa: — ‘‘No importa, dije que no importaba nada” ‘Pero, Senora, si la bicicleta. . . El fie toca. Claude Goffart, Spanish I

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Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1945 Edition, Page 1

1945

Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1954 Edition, Page 1

1954

Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1948 Edition, Page 13

1948, pg 13

Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1948 Edition, Page 33

1948, pg 33

Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1948 Edition, Page 33

1948, pg 33

Spence School - Yearbook (New York, NY) online collection, 1948 Edition, Page 43

1948, pg 43


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