Malvern Collegiate Institute - Muse Yearbook (Toronto, Ontario Canada)

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THE JIFSE est tomlne dans un precipice. A ce moment mon cher Armand s'est Glance ot il en a retire mon pere sain et sauf. Quand nous sommes revenus a Paris Armand avait deja demande ma main en mariage a ma mere et Daniel avait fait la meme demande in mon pere. On m'a donne le choix et apres avoir refleclii quelque temps j'ai clioisi Arinaiul. Mais quelle fut ma surprise quand mon pere me dit qu'il aimait mieux Daniel et qu'il en voulait Ei Armand. Mon amant arait compris aussi l'antipathie de mon pere et voulait nous faire ses adieux. Mais je n'aimais pas Daniel et je l'ai dit il Armand. Ju ne comprends pas encore pourquoi mon pere a change d'avis mais ue jour-la il a accepte Armand Comme gendre. Je n'avais jamais lite si lieureusef Quand nous serons installes dans la nouvelle demeure de 111011 mari je serai ravie que tu viennes nous y faire une longue risite. Mon mari. a qui j'ai parle de toi, tient lmeaucoup at faire ta eonnaissance. et moi, je serai tres Iiere de te le presenter. .Ie ralfole de mon nouveau nom qui est celui de mon Cheri. Ton anne alfectueuse signe 2lll.IOLl1'Cl'lllli. QBIADAMEJ ARMAND DESROCHES. 'V' 'Q 1141! ,.,, aj ' ' ' ' lf . - . . 42 - :- ' ...:.-Tva4.g.g., ,ef I - f. 1 --f it -11 QW C 5 -Q., T . - . w- if l --ss. t ' .H 5 ll Y 2 I 4.3.1. Lg 4? l 1 5 6. ,, V . ' 7 . it ' H 1 AL, I-I: , X I - - . X 'L t ' -X X I ' - I A , .., '3-'x , , l ' - ll. - 5-if-f,jE l ' f l f --- f--sf 'ff - ' if-sq, 2 f 1 i .i x L , i ,pf-ffl 5'f16l '3'i 5' lx 1.1 .- f f ' U ,,' ,' X- 1 r 'N ff' ,-.- - . -T f,-,' Q Fgl ,L 'j ,if W D xy. all up f f i . - .:. 'r l, ' -.. -3-'2 ? ' , - 4- - 1'-P' Q , -5 'Y 4' , . sf- MJ- iexxx jig, ' 'f Y 4. 'L--j - -2 My 3 L e e r-U .egqfimie ff?-411 ,-7,1-Efgj,g!,Y,,- - 12-:i'xg,'fI iv, 1 A 5-7 Y 1 ,f :,.Ur'.:-:-N '- fl f fl ' D xii.-i,- 'L ix 721 P- ' qv rlft ullr L, in' 1 WLWFUART :wi

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L L s THEJIVSFL- LLL, Ah! bah! Hainsworth attrape la rondelle dans ses gros gants-c'est tout ei fait comme lui. Il la lance fl2iIlS le coin. Les Montrealais sont contents-et c'est ca! Morenz est tout seul-a la defense-comme ce garcon-la patine! ll se fauiile entre les joueurs de la defense mais ce joueur remarquable. Horner, lui enleve la rondelle. Consternation de Morenz! Maintenant il 3' aura un petit relache pendant qu'on change les joueurs. Darragh, Conacher, et Cotton pour les Leafs: Larochelle. Gagnon pour le Canadien. C'est encore manche at manche. Le match vous vient du poste C.H.R.C. Le jeu recommence Conacher prend la rondelle mais, avant qu'il puisse faire un seul pas, Larochelle la lui enleve pendant que la defense le terrasse. Conacher se met en colerel Darragh prend la rondelle et il la donne 21 Conacher. Conacher se trouve tout seul-au milieu du rond--la joute s'acheve-comme Cona- cher est rapide! Sapristi! Il rend la foule haletante! Conacher patine autour de la defense-tout le monde est debout! Conacher fait un but!!! Et voila la clochette et ainsi la fin du match. Le score final est trois buts pour les Maple Leafs de Toronto contre deux pour les Canadiens. Le recit de cette partie est irradie par le poste--. Image et histoire originelle par JACK KEANE, IIA. Traduction francaise par HAROLD GARFIELD, IVA. HENRIETTE DESROCHES ECRIT A UNE AMIE Par Edith flffllillll Ma mignonne:- C'est aujourd'hui que nous repartons pour Paris. Nous avons passe toute notre lune de mlel en Suisse. Cependant ce n'est pas la premiere fO1S que nous visitons le mont Blanc. Il 5' a cinq mois mon pere, ma mere et moi sommes partis en voyage. Mais Je dols te dire que papa nous promettait ce voyage d9IJLl1S deux ans. Quand nous etions arrives a la gare j'ai reconnu deux jeunes gens, Armand Desroches et Daniel Savary qui m'avaient fait danser au bal du huitieme arrondissement. Je les ai presentes a ma mere et ils lui ont plu. A coup sur ils nous suivaient parce qu'ils tachaient de savoir quelle etait notre destination. et des lors nous les avons rencontres partout. Tous les deux s'eFforcaient de gagner notre estime. Ils faisaient leur possible pour nous plaire et jiai fini par eprouver un sentiment d'admiration pour Monsieur Desroches. Cette admiration s'est changee plus tard en amour at cause d'evenements qui ont montre son courage et son devouement. Quand nous etions en Suisse mon pere est monte a cheval avec des eperons. Le Cheval s'est cabre et mon pere tohl quand j'y pensell I-151

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LL L li be-lille? QLD L L- EIN BRIEF AN EINEN DEUTSCHEN FREUND Lieber Franz :- Du hast mir einen Brief uber die deutschen Schulen geschrieben und so werde ich Versuchen, die unsrige zu beschreiben. . Unsere Gymnasien sind alle Volkschulen. Keinem Schuler, welcher die erforderliche Berechtigung dazu hat. ist der Eintritt unseren Volk- schulen verweigert. Das aber wird dich wohl nicht interessieren, also werde ich mich einschranken auf dass ich nur eine Beschreibung unserer deutschen Stunde gebe. Ich studiere Deutsch erst nur drei Jahre. denn ich war schon in der dritten Klasse ehe ich es anfing. Zuerst waren unsere Stunden etwas eintonig, aber spater hatten wir unsere Freude daran. dass wir anfingen Marchen und Erzahlungen zu lesen. Eine solche interessante Geschichte ist jene Von-Har0un- el-Raschid, dem beruhmten Kaliph von B-rdad. Der Kaliph hatte ein geheimnisvolles Pulver untergeschluckt womit Menschen sich in Tieren verwandeln konnten. Also anderte er sich in einem Storche. Als Tier, diirfte man nicht lachen sonst wiirde man in der Gestalt eines Tieres bleiben. Der Kaliph lachte und ist seitdem Konig der Storchen geblieben. Bald ging es mir mit dem Unterricht ganz anders. Ich musste englische Satze ins Deutsche iibersetzen. Solche Aufgaben habe ich nicht gern und oft wunschte ich, dass wir nur Lustspiele und Erzah- lungen lesen diirfen. Gestern abend kam ein Musikfest, das ich deutlich horte. durch die Luft von Deutschland uber das Ozean zu uns her. Es war sehr komisch als der Redner sagte, O.K., Vinchellf' Die deutsche Lieder sind sehr melodisch. Nun aber, wieder zur Schule! Manchmal habe ich die Gelegenheit gehabt zu lachen. Vor ein paar Tagen, hat ein Knabe gesagt, Nehmen Sie das :zz lzool aus dem Satze herausf' Zoo bedeutet eine Menagerie. Der Lehrer hat auch etwas klug gesagt, aber es war auf Englisch. Er erlangte von einem Schiiler etliche Beispielen von Satzen verschiedener Arten. Der Knabe antwortete: John is sick. Is John sick? Sic 'em, John. IVir haben ein Lustspiel, Der Bibliothekarf' studiert. Die Hauptpersonen sind zwei junge Burschen, namens Lothair Mac- donald und Harry Marsland. Ein jeder hatte einen Onkel. Der Onkel Lothairs war ein wenig verruckt. Er glaubte, dass irgend ein junger Mann austoben sollte, ehe er anstandig leben konnte. Der Onkel Harry's war nicht verruckt, aber er hatte eine liebliche Tochter die erst siebzehn Jahre alt war. Er fiirchte. dass Harry sich mit seiner Cousine heiraten wollte. l47l