London South Collegiate Institute - Oracle Yearbook (London, Ontario Canada)

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LE CERCLE FRANCATS Cet an nous avons commence notre cercle frangais de plus bonne heure. A la premiere reunion nous avons choisi le comite, qui se compose de Betty Planitz, Gertrude Beaton, Ruth Donahue, Joan Breakspeare, John Kidd et Walter Griggs. Nous avons soixante-quinze membres. Nous devons parler seulement frangais. Nos reunions sont tres interessantes et nous nous amusons beaucoup. -MARJORY LEE, V B. Nous sommes contents de savoir, que d'anciens eleves de notre ecole ont passe deux mois de l'ete de 1933 dans la province de Quebec at Trois Pistoles ou ils ont suivi un cours d'ete sous la direction de l'Uni- versity de Western Ontario. Ruby Stauffer, Kathleen Milligan, Ruby Hamlyn et Jack Holmes se sont bien amuses dans ce vil- lage charmant. Nous sommes aussi contents de dire que Mlle. Jean Walsh Cqui est maintenant institutrice at Sarnia Collegiateb a passe quelque temps a Paris l'ete dernier. Ces eleves, que je vais nommer ont passe quelque temps at Montreal ou a Quebec cet ete-T. Butt, V. Prior, D. Fraser, R. Donahue, B. McCulloch, R. Cram, B. Haskett. L'histoire la plus favorite des Trois Pistoles, c'est celle qui se trouva la veille de Noel en 1839. Il faisait tres beau et les gens, s'aperce- vant sur la glace des tas noirs et mouvants, se disperserent pour abattre ces loup- marins. Le soir, pendant que les deux cents hommes disputaient leur propriete, la glace s'etait detachee de la rive. Sauvez- vous ! s'ecria la foule sur la rive, la glace va au large! Le vent poussait l'ile de glace plus au large d'instant en instant. Le pretre essayait d'encourager la foule effrayee sur la rive. A genoux. mes enfants, ordonna-t-il. Je vais donner l'absolution aux gens sur la glace! Les gens sur la glace promirent tous eriger une Croix sur l'endroit ou ils seraient sauves. Tout a coup le vent changea de direction et commenga at pousser Vile fiottante ver le petit Rasade, un ilot rocailleux. Tout le monde etait sauve. Nous avons vu, cet ete, sur cet ilot, la Croix de pierre que les gens des Trois Pistoles ont dressee en souvenir de leur sauvetage miraculeux. -RUBY VV. HAMLYN. EI.. V giz- -- --i -3' 1 A fyg:ni:. L.- ,. - . - li . - - ,L - A an Y ei Q 'M 143. 9 V gi--.F -V A --t - fu. ' '3i?'3!q1,l:v: 'TL'1 Y.:f'Ax +L 3 . , f i ' , ' ' ' ' - .. .- SOUTH C. I. LET? page forty-seven

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Une chose qu'on remarque toujours en Quebec est la religion du peuple. Dans chaque paroisse l'eglise occupe la place la plus centrale qui domine tout le village. Les eglises elles-memes sont grandes, im- posantes, generalement construites en pierre taillee ou en pierre des champs, telles qu'on ne trouve ici que dans les grandes villes. Cela signifie la place de l'eglise dans la vie des Canadiens-Fran- Qais. Le dimanche toutes les familles, non seulement du village mais de la campagne des environs viennent rendre leur hom- nage au pied de l'autel. Les voitures a quatre tune famille canadienne a besoin de plus de quatre placesl et les chevaux donnent une couleur locale a la scene. L'eglise a toujours les cloches, qui son- nent souvent pendant la journee com- mencant ei cinq heures du matin avec Vangelus, puis les prieres. A midi l'an- gelus sonne encore et a sept heures du soir. fOn peut regler sa montre par l'angelus.J Il est bien touchant d'entendre les cloches au crepuscule. Personne ne meurt pas, ne se marie pas, n'est pas con- firme sans que les cloches sonnent, et on ne doit pas oublier les baptemes! Dans les maisons on trouve encore des temoins de leur foi, dans les gravures pieuses-de la Vierge Marie avec le Coeur sanglant et d'autres du meme genre. Le cure est vraiment le pere de sa paroisse. Il s'interesse a tout ce qui touche le bien de ses paroissiens. A un seance des fermieres il a critique les tapis parce que les couleurs ne se mariaient pas bien! -RUBY STAUFFER. POUR RlllRlE Deux amis de college qui ne s'etaient pas Vus depuis longtemps se rencontrent sur les boulevards: -Je suis content de te rencontrer, dit l'un d'eux. Veux-tu dejeuner avec moi? -Avec plaisir. Tu est trop aimable . . . -Eh bien! Rentre vite chez toi et dis qu'on mette mon couvert. wk DK FF Le client: La pate pour les chaussures que vous m'avez vendue n'a pas les qualites que vous lui pretez. C'est un vol. Le 'I'7Lf1i7'Cl'L6l7'Ld.' Je vous assure qu'elle conserve les chaussures indefiniment. Le client: Pas du tout monsieur! Le meme jour on me les volait fi la porte d'une chambre d'h6tel. Pk Ulf 14 Grand-pere essaye d'initier sa petite fille sur les mathematiques .... -Si je te donnais dix sous par jour, combien aurais-tu at la fin de la semaine? -3 fr. 50, grand-pere. -Bien repondu, fillette. Pour ta recom- pense, voici les 3 fr. 50. -Oh! grand-pere, comme je regrette dc n'avoir pas dit que cela faisait 5 francs! Deux petites iilles se promenent dans un pre ou paissent deux vaches, une blanche et une noire. -Tu vois, dit l'ainee, ces deux belles vaches de couleur differente? -Oui. -Eh bien! C'est la vache blanche qui donne le lait, et la vache noire qui donne le cafe. x l Y h . ...mi ' x lliv. lfbizllllllllllll ll! . n .A1,', 'Q .I ' 1.' I. , -4. Cette petite eglise de Tadoussac etait la premiere eglise chretienne au Canada. Elle etait construite en 1648 bien que les Jesuites y travaillent depuis 1617. Page fvfly SIX THE ORACLE

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LESE E DE TSCHE Rcdaktczn'-Hetty Mann Dos Bcttlcirs igglltlllfii Fritz war ein Bettler. Er hatte nie gearbeitet. Er arbeitete nicht. Er Wollte nie arbeiten. Eines Tages war er hungrig und er klopfte an die Tiir eines Hauses. Eine alte Frau kam zu der Tiir, Bitte, meine gute Frau. werden Sie mir etwas geben? Ich bin sehr hungrig. Mein armer Mann. wiirde ich gern Ihnen etwas geben, aber wir sind sehr - .H ' 75 arm. VVollen Sie tur etwas arbeiten? Ja-ja-wohl, denke ich so, sagte der Bettler, widerstrebend. Die Arbeit wird nicht zu schwer sein, nicht Wahr? Kommen Sie. und ich werde sie Ihnen zeigenf' antwortete die Alte. Worauf fiihrte sie in die Scheune hinter dem Hause hin. Zeigend ihm Pfahl von Holz, sagte sie: Tragen Sie das Holz in das Haus und ich Werde Ilmen ein Mahl gebenf' Ah, aber ich habe wahrend drei Tage nicht gegessen! Ich loin nicht genug stark, um das zu tun, rief der Bettler aus. Wohl. miissen wir einige Arloeit finden, die leicht zu tun ist, setzte die Alte fort und sie grinste schlau. 'tAh, ich Weisz gerade das Ding. Folgen Sie mir. Dann fiihrte sie ihn geggen die fernste Ecke des Hofes, wo ein groszer Hund zu einem Hundesstall gebunden war. Wenn Sie den Hund fiir mich waschen, werde ich lhnen ein gutes Mahl gebenf' Er ist ein groszer Hund. nicht wahr. Ich habe nicht Starke, um ihn zu halten, wenn er versucht fortznrennen, brummte Fritz. 'tGelien Sie mir zuerst etwas, bittef' t'Ah. ich sehe jetzt. Sie werden zuerst dieflelohnung bekommen und dann wer- den Sie nicht meinen Hund waschen. Nein, Sie miissen jetzt das tun oder Sie werden niclits bekommenf' t'Sehr wohl. werde ich tun was Sie sagenf' murrte Fritz. page forty-eighl L6hl'8'l'1'llR6dClfkf9ZL7'-FFIZLIIQIH Macpherson Die Alte band den Hund auf und auberte nach ihmf' Der Bettler rannte. Der Hund rannte. Wir wissen nicht, ob der Hund Fritz fang, da niemand wahrend zwei Tage entweder ihn oder Fritz sah. Doch kehrte der Hund nach Hause ziiruck und man berichtete, dasz ein Mann in einer nahe- liegenden Stadt gesehen Wurde, der um neue Hosen bat. -HETTY MANN, V B. .zthniellxdlotein BARON MUNCHHAUSEN Der Baron Mtinchhausen muszte seine Geschichten, die die Welt so gern horte, bezahlen! Als er gestorben War, Wollten die Leute seiner Heimstadt ihn nicht in der Kirche begraloen, Weil er so viele Liigen erzahlt hatte. Wahrend sie besprachen, Wo man ihn begraben wiirde, lag er unbeerdigt. Endlich entschlossen sie sich ihn in der Kirche zu begraben. Aber man tat es nicht gut, Weil ein Jahrhundert spater er von einem Arloeiter ausgegraben wurde. Man sagte, dasz er gesunder scheine, als er gewesen sei. DAS THEATER VON WEIMAR Es gibt in Weimar, einer Stadt mitten in Deutschlandg ein Theater das Viele interessanten Sachen gesehen hat. Wil- helm Tell, von Schiller, wurde das erste Mal darin aufgeftihrt. und Goethe hat es fiinfundzwanzig Jahre geleitet. Die deutsche Republik Wurde dort prokla- miert. Dieses Theater kann sich vieler Vorfalle sicher erinnern. DIE KUCKUCKSUHREN Die kleinen, schonen Kuckucksuhren, die in so vielen Hausern von Kanada sind, wurden fern von unserem Lande gemacht. In Friberg. einem kleinen Dorf im Schwarzwald, schnitzen die Arbeiter diese kleinen Uhren, Wie ihre Groszvater und ihre Urgroszvater sie geschnitzt haben. Die Kuckucksuhren gehen zu allen Teilen der Welt, und bringen ein Wenig des Schwarzwaldes zu den Hausern von anderen Landern. ' -HELEN TRACE, V B. THE ORACLE