Holbrook High School - Echo Yearbook (Holbrook, MA)

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THE ECHO 25 UN VISITE A BOSTON J’allais a Boston l’autre jour. J’ai visite le marche ou je voyais les hommes vendre du fruit, des legumes, des peche et de la viande. Aussi il y avait beaucoup d’autres choses a cette place. Alors je visitais L’Fanual Hall. C’est une des Edifices des premiers ages construit dans ce pays. De ce palais des Anciens et Honorables cette Salle est certainement une belle place d’interet. Je signais mon nom dans le livre ds noms de visiteurs. Je voyais beaucoup de reliques d’autres jours, restes de la guerre de Revolutionnaire, la guerre de dix huit cent douze, et les restes de la guerre civile. II y a beaucoup de beaux tableaux dans cette Salle. Tel que “Le premier Thanksgiving diner”, les Indiens et les Pelerinsmanger. Les uniforms des different guerres etaient tres interesants. Les armes qu’ils portaient etaient tres im- pairs. On placait l’argent de different pays dans de grandes vitrines les notes etaient jaunes de l’age. Aussi je visitais la chambre d’Etat ancien. Je voyais le balcon de la guelle ou les govenneurs pronncaient leurs discours dans les premier jours. Ily avait beaucoup de vaisse aux mineature que l’on a modele des grande vaisseaux de notre pays. Je suis retourne chez moi apres avoir vu les rues de Boston. Catherine Gilley, ’30. DUO AMICI Robertus et Albertus duo amici erant qui in eodem oppido incoluerunt. Roberto multae pecuniae erant, et Alberto minimae pecuniae erant. Cum adulescentes facti sint, magnum bellum erat, et quisque homo venit ut pro patria pugnaret. Uno die suam pecuniam non receperunt, et Albertus miser erat, propterea quod uxor et multi liberi sibi erant. Robertus, qui suum amicum maxime amavit, multam pecuniam ei dedit ut uxori et liberis earn mitteret. In acerrimo proelio, Albertus multa vul- nera recepit et a suis castris efferebatur, et Robertus putavit se eum numquam rursus visurum esse. Post multos annos, bello facto, Robertus, quod omnes suas pecunias amisisset, miserrimus erat. Uno die suus senex amicus, Albertus, ad eum venit et dixit. THE LATIN CLASS 1929 Names 743 B. C. (As they might (As they are) (Nickname) have been) Dorothy Field (Dot) “periodus Ager” Evelyn Hill Evelyn “Collis” Stanley White Stan “Albus” Catherine Gilley (Kitty) “Felis” Gilley Francis Smith (Frank) “Simplex” Smith Charles Dornan (Red) “Capillus rufus” Dornan Gordon Kelley (Spider) “Aranea” Kelly Penelope Hutchinson (Penny) “Nummus” Hutchinson LIBERI BRUTORUM Erat vir, Brutus nomine. Brutus tres liberos habuit. Duo ex liberis boni erant, sed unus malus erat. Nomen mali pueri Lucius erat. Lucius videb at quamodo aqua refulgeret. Robertus maximus puer natu, venit post Lucium. Lucius, qui eum non videt, in aquam ieciebatur. Fred Kierstead, ’32. “Ego audivi te opus esse pecuniae, et quod nunc multam habeo, ad te veni ut a te quaererem ut mecum semper veniretes et incoleretis si vultis, quam tu mihi optimus eras atque auxilum mihi et meae familiae saepe dedisti. Marian Behan, ’31. IRREGULAR LATIN VERBS Skato, slippere, fa Hi, bumptum. Catto, squallere, bootjack, missum. Gingo, gingere, gingerbread, give us sum. Pinno, pinnere, puncturi, tirum. Flunko, flunkere, faculty, fixus. Ex. PARODY ON “MY BONNIE LIES OVER THE OCEAN” Last night I went to a supper, Last night I ate escalloped clams, Last night soon after that supper I dreamed of meeting those clams. I dreamed that they all did have faces, I dreamed that they all could speak, I dreamed that they were not in their graces, And of horrible things did they speak. They said, they were going to get me, And tie me up tight in a chair; And they swore that they would not release me. Until they did tear out my hair. I woke from my slumbers, screaming, My sister was pinching my nose; She said that I had been dreaming, And kicking her with my toes. Chorus Oh never! never! I’ll never eat clams any more, any more. Oh never! never! I’ll never eat clams any more. Martha Kierstead, ’29. Brud Ferguson, speeding by a stop sig- nal. Cop: “Sav. young feller, didn’t you see that signal ?” Brud: “Yeh, I saw the signal all right, but I didn’t see you.”

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24 THE ECHO FOREIGN LE RENTREE DE SON FRERE “Marie! Apportez-moi mon livre.” dit Madames Fortesque. Quand Marie a apporte le livre, Madame dit: “Landis que je suis allee, Marie, il faut que vous preniey soins de la maison. Si quel qu’un passe chez moi, parley-leur que je serai chez moi pres de sept heures” et Madame Fortesque balayait avec pompe hors la maison. Marie attend jusqu’a ce que Madame soit partie et puis elle allait au jardin ou on ne la a pas permis. Faute le apres midi elle y est restee et lisait. Quand il etait six heures elle s’est levee et elle est allee dans la maison craignant que Madame ne suis returnee trop bientot. Aussi tot qu’elle arrivait chez Madame Fortesque elle entendait le son du grelot de la porte. Elle a ouvert la parte et un etrange jeune homme cria. “Marie!” Marie reconaisait son frere que elle n’avait pas vu pendent la gerre du monde a commence. “Marie!” dit Madame Fortesque sincere- ment comme elle ouvrait la porte et trouvait Marie dans le bras de son frere. “Marie, qui est ce jeune homme?” “Mon frere!” cria Marie heuresement et ne plus craignant la grand mere et il me menera chez lui avec lui. Penelope Hutchinson, ’30. A LETTER RECEIVED FROM A GIRL IN FRANCE Chambery, France Mar chere Martha, En classe nous apprenons l’histoire de France, la litterature, la composition francaise dont le dernier sujet portait sur l’admirable exploit de votre aviateur, Lind- berg, les mathematiques, les sciences, l’italien, l’anglais. Durant ces lecons nous lisons Jungle book; quelles matieres preferez-vous ? pour moi ce sont les sci- ences. Lucienne. JOKES Tom: Mon oncle est mort du boisson fort. John: Est-ce vrai? Tom: Oui, une masse de glace est tombee sur sa tete. Miss Bartlett: Un personne, quel age aurait-il qui est ne en 1890? Basil: Un homme ou une femme? MES VACANCES D’ETE L’ete dernier, j’ai passe la plupart de mes vacances dans une place que l’on appele “Duvet d’Ert” c’est a dire, a Moncton, New Brunswick. Je yous raconterai comment “nous” y sommes arrive, mais d’abord je vous raconterai qui “nous” etions. Mon pere, non frere, ma grand’mere et moi etaient les “nous”. Nous toutes y avaient des parents, ainsi nous avons pense que nous y passerions nos vacances. C’est comment nous y sommes arrives; mon pere achete une tente et toutes les choses necessaires pour camper, et nous avons campe toutes les nuits jusqu’a ce que nous y soyons arrives. J’ai pense qu’il etait beaucoup d’amusement. Enfin nous sommes venus a la maison de ma tante, qui etait prete pour un bon temps, parce qu’elle nous donne toujours un bon temps quand nous sommes chez elle. J’ai un cousin qui y vive et il a dix-neuf ou vingt ans. Il a une “fille” ou “fiancee” et il a aussi des “garcons-amis”. On l’appelle Monsieur Howe Jones et il est tres brave. Nous sommes alles a nous nromener a automobile plusiers fois et nous avons eu vraiement un beau temps en allant aux places. J’espere que j’y irai encore bientot, quoique je croie que j’irai “Bourdon l’Occi- dent” a Michigan cette annee. C’est tres beau a Michigan parce que toutes les gens sont tres les bonnes voisines. On s’imprime immediatement. Martha Kierstead, ’29. Customer: Qu’estce qui charge de cette batterie ? Clerk: Un volt et demi. Customer: Combien de mounaie Ameri- caine ? Jarn: Qud est le densitie? Bud: La tete de Dornan. Fredricus, rex Romanorum, bellum cum Gallia gerebat. Fredrici naves super- averant naves Gallorum et pedites omnes urbes superaverant. Puer parvus dixit copias Gallorum trans flumen esse. Turn Fredricus magnas urbes capit, et omnem Galliam supe ravit. Fred- ricus puerum ducem exercitus fecit. Ernest Wiggins, ’32.

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26 THE ECHO Echo Staff Lower Row (left to right): B. Martin, P. Hutchinson, A. Hadfield, A. Cummings, H. Tibbetts, W. Hancock, C. Roach, E. Hill, R. Dyer, F. Crosby. Top Row: T. Flye, D. Ahearn, M. Regan, L. Hutchins, J. McKinlay, C. Hay- den, C. Callahan, D. Brown, M. Holbrook. NORTH Who knows what took place in that great unknown, When the dreaded word was flashed across the land. The Italia was lost! No word from the grand Dirigible, which from Spits’berg had flown O’er Arctic glaciers and water blown, Into the great white wastes of great North- land. Which like Saharas’ bleak and desert sands, O’er which the bleak, cold wind of the North King moan. Defeated by the Arctic wastes and down, Mid clear cut, snowy peaks of pearly white, Whose creed is death; whose coffin, a hoary gown, A shroud of frigid white; whose long, bleak night Of six long, lonely months, with never a sound, But stillness and silence which instills a fright. Frederick Crosby, ’29. IN AN AUTOMOBILE I love to ride in an automobile To feel the touch of the steering wheel. To the cautions of all I pay no heed When I feel in my hands the power of speed. I notice the signs and billboards gay As I pass them on my hurried way. I notice the people along the street, And I am sorry that they are missing my treat. I notice the ’planes in the sky above And scorn them all for the sport I love. I notice the horses and wagons of old And laugh because they think me bold. I notice the people in cars like mine Who never stop at the traffic line. I notice the birds bursting over with song. I notice the flowers as I pass along. All these things I notice as onward I go, But, oh, many others I notice, also. And the caressing touch of the wind I feel When I’m riding along in an automobile. Pauline Blanchard, ’30. PARODY ON EXCELSIOR The dawn of day was coming fast As thro’ the sleepy township flashed A car which bore, with loads of noise A youth and youths who loudly cried: Faster! The car was bent, it bounced around As it would barely hit the ground When guided by the nervous hand Of any youth of that big band. Faster! On corners sharp it hit the light Which danced about so bold and bright. Above the bed a white frock shone, And from his lips escaped a groan: Faster! Penelope Hutchinso n, ’30.