Holbrook High School - Echo Yearbook (Holbrook, MA)

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18 THE ECHO BELLUM Galli ad proelium cum multis militibus promoverant. Magnae naves in mari cum multis nautis navigaverunt. Multa tela ab terrae copis igni in via vastabantur et magni agri deleti sunt. Imperator cum copis murum hostium oppugnavit. Hostes cum decima legione Gallos superabant. Galli in castra properaverunt nam nom vic- tores fuerunt. Stanley White, ’30. MARCUS NUNTIUS Marcus amicus Caesaris erat. Media nocte mittebatur ab Caesare ut moneret pon- ulos. Caesar audiverat Germanos transire Rhenum ut appugnarent Romanos populos. Germani feri, audaces, barbari, viri erant. Marcus vocavit populos qui reperirent quid facerent et quos fines peterent. Postea dixit eos brevi tempore vincendos esse. E. Rosenquist, ’29. Client: Quand vous m’avez vendu ce medicine, vous me disiez qu’il me querirait dans une nuit. Pharmacien: Bien! Mais on ne dit pas quelle nuit sur la bouteille, Monsieur. CAN YOU IMAGINE Ingrid Rosenquist — Answering back? Arthur Therrien — Being stupid ? Cora Johnson — With a hat? Kay McCool — Without May? Constance Brown — Being bold ? Dot Huskins — With her hair parted in the middle ? Anna Saunders — With a barrette? Beth Fulton — With a pencil for short- hand ? Bob Jardine — Being rude ? Bob White — Very noisy? “Smitty” — As a stenographer? “Tiny” Gray — Hurrying ? Phroso George — As a public speaker? Jessie Beers — Without her lessons? Mary Michaels — Arguing? Barker Austin— With his Algebra done? Hazel McKay — As tall as Brud? Lindsay Hiltz — With a girl? Marion Hill — Without a smile? Thomas Ahearn — Anything but a shiek? Mim. West — Very serious? Maybelle Sears, ’28. MARCUS Agricola in Gallio habebat filium nomine Marcum Cum esset decern annis senex, con- scribebat in exercitu. Marcus invit ad bel- lum est pugnaret dum in Helvetios proclio fiebat amicus divitissimi imperatoris. Hie imperator dabat partem suae fortunae Marco. Hoc tempore pater Marci erat max- imus natu et ita ivit donum ut provideret suo patri et erant felices. Louise Hutchins, Latin ’29. La mere: Ma chere, un grand medicin dit que les femmes ont besoin de plus de sommeil que les hommes. La femme: Eh, Bien! La mere: Oui, ma chere, par couequant- peut-etre il voudroit mieux si vous ne m’at- tendiez pas ce soir. Jeanne: Quandnous nous marierons, je devrais avoir vingt domestiques. Jean: Vous eu aurez vingt, ma chere; ma s aux temps differents. 5 |{ Chauffeur: Bougez-vous! Faites venir le medicin. Paysan: C’est lui que vous avez parcourn. ❖ Steamship Ticket Agent: “Where to?” Senior: “New York.” S. T. A.: “What class?” Senior: “Sumner High School, ’27. Why They Flunked “Things which are equal to the same thing are equal to anything else.” Oceanica is that continent which contains no land.” “In India, a man out of a cask may not marry a woman out of another cask.” “Parallel lines are the same distance all the way and do not meet unless you bend them.” “Gravitation is that which, if there were none, we should all fly away.” “Louis Sixteenth was gelatined during the French Revolution.” “Horse power is the distance one horse can carry a pound of water in an hour.”

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THE ECHO 17 JFomgu JEAN ET BETTINA Jean est le hero dans l’histoire de l’Abbe Constantin, et Bettina est la heroine. Jean n’a pas ni pere ni mere. II etait le fils du medecin de campagne. Son pere est mort dans la guerre. Puis sa mere est mort de fievre. II est maintenant le lieutenant au neuvieme regiment d’artillerie et il demeure au garnison de Souvigny. Jean etat un grand cavalier robuste et solide. II etait aussi un homme de bonte, de courage, et de droiture. D’ailleurs, Bettina n’en a pas, mais elle demeure chez sa soeur, qui est tres r che et qui vient d’acheter la domaine de Longueval. Bettina a toujours ete une petite ccquette bien qu’elle ait un bon coeur. Elle a une maniere serieuse et reflechie sous ses airs evaporis. L’Abbe Constantin est le parrain de Jean, et qui est le bon, vieil pretre qui aide aux pauvres. Autrefois le pretre avait recu beaucoup d’argent tous les ans de la mait- resse de Longueval. Maintenant, quand il y avait etre une nouvelle maitresse a Long- ueval, il n’a pas su s’il recevrait de l’argent pour ses pauvres ou s’il n’en recevrait pas. Mais il en recu. Il a recu trois mille francs d’elles. Jean et Bettina aiment l‘un l’autre mais Jean ne se croit pas digne d’elle parce qu’elle a tant d’argent. Ingrid Rosenquist, ’28. LE PRINTEMPS Quand le soleil brille Et il fait beau temps, Est-ce la saison pour le chagrin ? Non, je pense que non. Le printemps est le plus beau De tours les autres temps. Il y a les arbres et les fleurs Les montagnes, les champs. Que pensez-vous de ce temps? Le bel printemps, l’aimez-vous? Il faut que vous soyez heureux Quand ce temps est venu. ATTENTION, MES ENFANTS. Sans doute il y a beaucoup de gens dans cette ecole qui ne savent pas qu’il y a une telle chose comme une classe de francais 4. Eh, bien, nous vous donnerons une grande surprise quand l’edition prochaine de l’Echo se publiera. Attendez notre page. (Par une de cette classe.) JEAN VALJEAN Jean Valjean fut le fils de pauvres pa- rents. Quand il etait un jeune homme, il etait emondeur. Son pere a sa mere furent morts quand il etait tres jeune. Sa soeur qui etait plus agee qui lui avait sept en- fants. Elle avait eleve Jean Valjean. Son mari est mort et Jean Valjean le remplaca. Souvent les enfants avaient faim. Quel- quefois ils allaient emprunter une pinte de lait, au nom de leur mere, a une femme, Jean Valjean paya la pinte de lait, et les enfants n’etaient pas punis. Un hiver il n’y avait pas de pain dans la maison et il y avait sept enfants affames. Un dimanche Jean Valjean volait du pain d’une boutique. On le condamna a cinq ans de galeres. Ceci se passait en 1796. On lui parla seulment une fois de sa soeur quand il etait en prisonne. On lui dit qu’elle travaillait et qu’il y avait seulment un fils de sept enfants qui reste. Il essuya trois fois a s’evader. Chaque fois on ajouta quelques annees. En octobre 1815, il fut libere. Il ne trouva jamais sa soeur. Alma Cummings, ’29. Jean: Monsieur, je desire me marier a votre fille. Pere: Absolument, Non! Jean: Pourquoi, qu’est-ce qu’elle a? Pauvre Pere: Pourquoi est-ce que M. Briand est un charpentier? Pauvre petite fille: Pourquoi? Pauvre Pere: Parce qu’il fait des cabi- nets. Alma Cummings, ’29. Dorothy Clark, ’27.

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