Hamden Hall Country Day School - Perennial Pine Yearbook (New Haven, CT)

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NOU'S-1.331 EES Dans la salle d'assemblie, hier apres-midi, Les tireurs d'armes, on les introduit, En donnant leur trophee a l'ecole, Dbnt, c'est sur, le monde est folle. Mais je pense ici que les tireurs Doivent etre depeintes avec plus de feu. Ainsi je tacherai do le faire maintenant, Et les vciei, comme, je pense, elles sont. Uno, la capltaine, c'est Eleanor Steffen, Qui guaranbit a tirer leur sang. Son degagcment, sa botte si vite, Toujours forcent sen opposante a la fuite, Secundo, c est Marte, l'orguei1 des Mais, Qui deconoerte tous avec son doublet, Sa parade est forte, sa riposte si bonne Que pour tous qu'elle bat, le gong sonne, Tertio est Barbara, l'espere de l'attelage. Elle combat tout le temps avec beaucoup de courage. Et enfin il y a moi, avec une double Coupes, Infaillible, jlespere car c'est tout ce que J'ai. Ici nous semmes. Les eleves de 1'escrime, Tirant nos opees pour gagner 1'estime. Ibis pour la victoire, atteinte sans alarmes, Merci h Papa, notre maitre d'armes. Elizabeth '42 AU POINT DU JOUR La lune descend lentement sous l'horizon a l'ouest, Les etoiles deviennent ales et puis disparaissent. Les oiseaux oommencent chercher leurs dejeuners Et leurs gazouillements cassent le silence celeste. Helene '42 Sonnet a la Grammaire Je m'appel1e Hartheg je vais bien. Voila son livre, voici le mien. C'est aujourd'hui le vingt-trois aout, If fait beau ce matin. Que faites-vous? J'ai dix-sept ans et elle a froid, La cloche a sonne, n'est-ce pas? La table verte, tu es, il est. Passez-moi le beurre, s'il vous plait. Je me leve, elle s'assied. Fermez la portel oh est la craie? Devant la chaise, derriere le pupitre. C'est maintenaut trois heures moins huit. Elle et moi sent allees hier soir. Pardonnezsmoi, merci, au revoir. Larthe '42

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NOTRE' CL.-LSSE DE FR.-LNCAIS Quand dans la classe de Francais, on Monsieur Heller est, 5 On doit faire la lecon bien, mais tres, Qu'i1 vous pense extremement epeis. HSi1ence,H dit-il, avec fureur, Usujourd'hui nous eurons une bonne lecturen. Quand cela arrive nous aurone grand peur, Et nous rirons vLte a ses calembours. filers nous diseutcns le monde, Et l'argument deviant tres grandg Jusgue l'on sorne, cesse tout violent, Et des devoirs il nous surprend. Eleanor '42 LA PLUIE D' OR Par-dessous les ormes je marchais, Regardant le feuillage qui ressemblait R la touche d'or du roi Midas! Aussi, pensais-je, c'est l'esprit francais - Car, en tombant, cela me faisait arreter, Stupefait, - mais qui me rendait triste, helasl Jig D Q LA. FIEVZRE DE PRINTEIIPS Le professeur, il a beau parler, L'e1eve ne lui ecoute pas. I1 lui demands, toute en francais, A qui pensez-vous, etes vous la? L'e1eve repond - je n'ai rien. Ne vous en prenez pas a moi. Il fait ohaud et jc me sens bien. Le fievre de printemps ne le sens-tu pas? Irene ELLarson '42 Le monsieur. I1 est toujours occupe. On peut le trouver seulement en courant aprbs lui d'une salle de classe au prochain. De bonne heure en le matin il se fsche contre so classes parce qu'i1s sont en retard. Quand il trouve ses etudiants en machant lenchewing gumu il essaye de les faire payer une omende. I1 conseille s ses etudiants de quelque chose qu'ils veulent savoir. I1 sonne les cloches qui nous disent de changer les classes, ll est professeur d'ang1ais et de mathematiques. C'est Monsieur Dowds Rosalie '42