Elmira District Secondary School - Oracle Yearbook (Elmira, Ontario Canada)

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,W - AIA ..., ,,- ,--f.. NLE VOLEUR Il y a quelques ans, un medecin qui s'appelait-Docteur John Lang demeu- rait dans la ville de C . . . Tous les matins et les soirs il conduisait son auto entre cette ville et un hepital a une autre ville. Il y avait ere beaucoup de voleurs le long de cette route, et le docteur avait peur qu'il ne soit vole. Done il acheta un revolver et il le portait dans sa poche gauche. Un jour, comme il allait a l'h6pital, il remarqua un homme a cete de la route. lI arreta l'auto et l'homme entre dans le siege at cate du docteur. ll semblait au medecin que chaque fois qu'il virait une courbe, lihomme mouvait plus pres de lui. Le docteur le soupconna et il pensa que l,homme avait vole sa montre. Il chercha dans sa poche et sa montre n'etait pas la. ll arreta l'auto encore une fois, tira son revolver et dit a l'homme: HDonne- moi ma montre! Tu m'as vole! Le voleur suppose tira une montre de sa pocheJet apres l'avoir jetee sur le siege, il ouvrit la porte et courut a travers les champs. Pendant que le docteur mangeait son souper ce soir, sa femme lui dit: 4'John, vous avez fait quelque chose ce matin que vous n'avez jamais fait auparavant. Quand vous etes sorti de la maison, vous avez oublie votre montref' Et le docteur s'evanouit. LEN RUPPEL, XII UNE DESCRIPTION J 'entre encore une fois dans la biblio- theque de mon amie. Comme d'habi- tude elle est confortable. Les livres couvrent les murs qui sont jaunes. Les livres sont des 'couleurs diiferentes- rouges, noirs, verts, bleus, et bruns. ll y a quatre fenetres-une a droite et une a gauche. ll y des ricleaux verts devant une grande table de chene qui est au milieu de la salle. Sur la table il y a une plume, et un crayon, et quelques livres. Derriere elle il y a une chaise qui ,est aussi grande et confortable. Derriere elle il y a une grande lampe. Un tapis-fepais et rouge .couvre le plancher. Elleest en effet une tres belle sa-Ile. I BEULAH BEISEL, IX A Q MONTER A CH1-:VAL , Jacques et Jean sont devant un grand cheval brun. lls desirent monter sur Nick, le cheval. Jacques va le premier. Nick traverse le champ lentement mais Jacques desire aller vite. Jacques bat le cheval et Nick court tres vite. Quand il le bat, Nick court plus vite. Une fois quand Jacques le bat, Nick s'ar1'ete, et Jacques recom- mence at battre Nick. Alors Nick court tres vite. Il traverse le champ deux fois, alors il jette Jacques dans la petite riviere et il tombe a terre. Jean court a travers le champ et arrive devant le fleuve. Oil est J acques? ll n'est pas ici. Apres un moment Jacques arrive pres de Jean. -fComment vas-tu? -Je vais bien, mais je suis tout mouille, repond Jacques. -Vite, vite allons 51 la maison avant que tu t'enrhume, dit Jean. -Non, non, je ne desire pas aller 5 la maison, crie Jacques. -Pourquoi? U -Parce que j'ai battu le Cheval, et maman va me punir. A Apres quelques moments, ils mar- chent a la maison avec Nick, qui n,est pas blesse. Quand Jacques arrive a la maison sa mere' le gronde. Elle a bien raison, niest-ce pas? ALICE MARTIN, IX B LE GRAND DELUGE Nous sommes dans notre salle de classe IX A. Nous entendons une course dleau dans le corridor. Qu'est-ce que c'est? Nous voyons de lieau sous la porte. ll y a bientet beaucoup d'eau dans la salle de classe. Que faire? Monsieur Currie entre en sautant a tra- vers l'eau, et il nous dit d'etre calmes. Nous poussons des soupirs de soulage- ment. A Bientet Monsieur Woodall entre, une vadrouille a .la main, pret pour liaction. Peu de temps apres, nous tra- vaillons comme d'habitude. . FLORENCE ARNOLD, IX A V, BEVERLEY BRICKER, IX A 41

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--FRANCAI S--' 3 , MQUELLE ABOMINATION ! NQuelle abominationln ces mots bien pointus Chaque jour dans nos classes francaises, leur son est aigu.. Nous n'avons point travailleg mademoiselle dit fort, -Qu7est+ce que vous avez fait hier soir? joue a un sport? Vous etes alles patiner? laissant vos devoirs? Gil en ville etes-vous alles? vos amis revoir? D'exercices ne faites jamais! pas de mots ecrits, S'ils'ne sont pas faits demain, vous serez punis! ' Quelle abomination! Donc dans nos etudes frangaises, presque tous les jours, Notre bonheur est perdu par ces deux mots courts. Mais apres, on pense un peug quand on reflechit, On regrette lecons malfaites, francais y compris. Mademoiselle ne sait cela, et encore nous dit . . . -Quelle abomination! ecrit par JOHN ROWLAND, XIII 1 SUR LE FLEUVE L'ecole est finie. Mon pere engage un bateau pour nous. Nous desirous jouer sur le Heuve qui court pres de notre maison en ete. Nous decidons d,avoir une pique-nique avec nos amies. A trois heures de l,apres-midi nous quittons la maison et bient6t, nous ar- rivons au bord de la riviere. Nous por- tons nos vivres sur le bateau et nous commencons notre voyage. Nous ne sommes pas allees loin, quand nous entendons un cri. Quelle surprise de voir que notre amie, Marie, est tombee dans le fleuvel Avec difli- culte, nous la tirons de l'eau avec une corde et nous la tout en essayant Apres cela, nous et alors il faut Mais, subitement, couvrons diun habit, de consoler la fille. mangeons nos vivres retourner chez nous. il fait tres sombre et il pleut beaucoup, ainsi que nous som- mes tout a fait mouillees aussi. Enfin, nous arrivons a la' maison ou nous oublions nos diiiicultes at la fin du jour et .nous pouvons dire facilement 'cAu revoir . - JOYCE ADAM, IX A 43952 MES POISSONS , Chez moi, j'ai six poissons. Ils sont de tous pays fdans leurs nomsl. Il y a un grand poisson de toutes couleurs et il s,appelle Churchill Son ami est un autre poisson qui, est tres vite et que j'appelle uRoosevelt,f parce que, dans son pays, Les Etats-Unis,.tout va le plus vite du monde. Alors, il y a un poisson blanc qui est jaune quand on le met dans lieau froide. C'est pour cette rai- son que je l'appelle Tojo. Il y en a deux autres qui sont blancs et rouges. Aussi ils ont des queues qui ressemblent 21 des eventails. Ils s'appellent Fritz et Frieda. Liautre est seul parce qu'il est tres tres noir et c'est pour ga que son nom est Haile Selassie. Quand Tojo commence a poursuivre Fritz et Frieda, Churchill et Roosevelt le chassent comme a present dans 'la guerre. Haile Selassie est toujours passif et il ne fait rien du tout. Il est tres interessant de regarder les poissons et leurs actions. Quand on vient'leur donner leur repas ils viennent vite a la surface. On dit que les poisf sons ne sont pas intelli'gents'rr1ais :eemort avis, ils sont aussi intelligents que les 6II'8S Il11I1'13.iIlS. haf ff Ntnfl 1:CMl!'. Smiri Qu'en pensez-vous'?1 I fff',':l. 'Nm i'fI f', s i,i.1' ' . Fx . ., XI L

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fl I ' slit, ,jiff-pw ' L31 1, f '9if -marsh, - .'..1f. . 'f ' -6451. 1- Y 12 X 'W t .I 1 N' FIELD MEET Our annual High School Field Meet was held on October Ist, 1943, in the afternoon, and some events took place the following week. It was a complete success with the weather conditions in our favour. There were many specta- tors other than the high school students. Grade XII had the pleasure of discov- ering new athletes who helped them to carry off the shield which they have won for three years in succession. The results were as follows: GIRLS Champion Runner-U p Senior Girls Betty Vice Beverly Shurly Intermediate Girls Ruth Klinck Thelma Ziegler Junior Girls Erma Martin Delorus Paprotka BOYS Senior Boys Ralph Robbins Albert Lorch Intermediate Boys Iohn Arnold Donald Huehn Junior Boys George Lee Edward Hill Juvenile Boys Kenneth Wilken Ronald Rau We -are hoping for a successful field meet again next year. -ESTHER SOEHNER, GRADE XII 42 I 5 mf-ml BADMINTUN A Badminton tournament to a new- comer is quite an exciting affair. And so I found myself entering the gym at my first tournament with a great deal of enthusiasm and quite a few misgiv- ings. After watching the players bat those queer-looking, fluffy balls about, though, I was ready to .try my hand at the game. Ross took me under his wing and for my first game we took on Miss Evans and Ralph, and guess who won? You're wrongg we did-or rather Ross did. After that, Eddie didn't seem to pair me off with kindred souls and I failed to win another game. Ah, well, I sat beside Miss Axford and sympa- thized with her as we watched Slim and Betty battle it out, while over on the far court Ed wore out his vocal cords try- ing to get the right players on at the right time. Mr. Hobden made a dash- ing iigure on the middle courts in his When the en- out we were uwinter white ensem-bleu. tire company was worn called to lunch--And in wartime too! Could be we have several good business heads in the establishment, at any rate, someone made money on that All right, folks, let us all rise and take out our wallets line. It was fun, though, and no one seemed to mind. Badminton is a really fine' sport. With me it was a case of love at first game-I shall return to participate in the next tournament with as much en- thusiasm. VIVIAN HOFFER, XIII